ParolesAbrite moi, sous tes ailes Couvre moi par ta main puissante mĂȘme si les ocĂ©ans se dĂ©chainent Je les traversserais avec toi PĂ©re tu domine les tempĂȘtes Je suis tranquille , car tu es lĂ mĂȘme si les ocĂ©ans se dĂ©chainent Je les traversserais avec toi PĂ©re tu domine les tempĂȘtes Je suis tranquille , car tu es lĂ En JĂ©sus lui seul, je me confie
ï»żCesderniĂšres annĂ©es, beaucoup de livres Ă©voquent la mer (comme Le Grand Marin de Catherine Poulain), la solitude, les phares (comme La mĂ©moire des embruns de Karen Viggers). Des univers qui font la part belle Ă lâauthenticitĂ©, Ă la rudesse des Ă©lĂ©ments qui se dĂ©chaĂźnent et Ă lâisolement si propice Ă la rĂ©flexion sur soi-mĂȘme.
Ăl'a buffĂ©, crois tu qu'ĂŽ l'a buffĂ©, Toutes les cornes des cocus sont tombĂ©es ! Ă l'a tout arrachĂ©, ĂŽ l'a tout Ă©bouillĂ©, Partout les peupliers sont tombĂ©s par milliers, La mĂ©tĂ©o disait " vent faible Ă modĂ©rĂ© ", J'ai r'trouvĂ© mon goret Ă l'aut' bout de l'Ăźle de RĂ©. Puis ĂŽ d'vait arriver, le courant a coupĂ©,
Unegoutte noyĂ©e, dans un ocĂ©an qui se dĂ©chaĂźne Et tente de nous broyer, voyez, on a pourtant pas de haine dans les gĂȘnes Tant pis, on part de lĂ , mais on peut aller loin L'enfant en chacun le sait mĂȘme si on fait comme si tout allait bien Que la rage demeure, fait naĂźtre tant de violence dans nos coeurs
AlainFinkielkraut s'entretient avec la philosophe et psychanalyste, Sabine Prokhoris, auteure de l'essai, Le Mirage #MeToo, et Clotilde Leguil, psychanalyste, philosophe et professeur au dĂ©partement de psychanalyse de lâuniversitĂ© Paris 8, qui publie CĂ©der n'est pas consentir. Un dĂ©bat autour de la question de la rĂ©volution #MeToo et de ses multiples dĂ©clinaisons.
sacSO. Harry Potter 2005 ~€~ AcadĂ©mie de Poudlard ~€~ Les couloirsVanille FleurySerpentard Re ChĂąteau non-coopĂ©ratifVanille Fleury, le Mer 16 Nov - 1556 Ă quoi penses-tu ? Me prends-tu pour une Ă©goĂŻste ? Une idiote ? Personne qui n'est pas nĂ©e de sang pur ne peut comprendre cette aversion que j'ai pour les sangs mĂȘlĂ©s et les sangs de bourbe. Pour moi il ne sâĂ©lĂšve qu'Ă grande peine Ă la catĂ©gorie d'insecte et encore je suis gentille. Certains diront que je suis folle, beaucoup seront choquĂ©s mais c'est la vĂ©ritĂ©. Je ne comprends pas comment des gens sans appartenance magique naissent soudain avec des pouvoirs, ce ne sont et ne sera jamais des sorciers Ă mes yeux ! Ils ne sont nĂ©s que pour servir et l'idĂ©e mĂȘme de frĂ©quenter le mĂȘme Ă©tablissement qu'eux me sorciers de sang-mĂȘlĂ© ne valent guĂšre mieux Ă mes yeux, ils me dĂ©goĂ»tent peut-ĂȘtre mĂȘme plus encore. Le fait d'aimer ou mĂȘme de coucher avec un mordu me rĂ©vulse au plus haut point. Ils ne sont pas dignes d'ĂȘtre de notre monde. Ne sont pas digne d' profondFace Ă la diffĂ©renceEt cette insanitĂ©De la natureIl faut dire que mon Ă©ducation en est pour beaucoup, aurais je rĂ©agis comme cela si j'avais Ă©tĂ© Ă©levĂ©e dans une autre famille . Je ne pense pas mais la rĂ©pugnance que j'ai pour eux aujourd'hui est Ă©videmment liĂ©e Ă celle de mes parents. Mon pĂšre ma Ă©lever, enfin, m'a fait Ă©lever, dans ce principe et il me serait presque impossible mĂȘme avec la meilleure volontĂ© du monde de ne pas suivre ce qu'il m'a fait rouge et or perdent son sang-froid, elle sort sa baguette et la pointe vers Tu me parles encore une fois comme ça et j'te dĂ©fonce ok ?Je sors ma propre baguette quelques secondes aprĂšs elle. Cette jeune fille n'a aucune chance. Je suis versĂ©e dans la magie noire depuis mon plus jeune Ăąge et suis assez puissante pour contrer ses misĂ©rables coups. Quelle idiote ! -Je demande Ă voir !Mon ton est un brin ironique mais reste sĂ©rieux et glacial. DoucementLe serpent et le lionSe lĂšve L'un contre l'autreDommage pour toi qu'on doive en arriver lĂ ma petite. Je ne voulais pas te faire de mal trop vite mais c'est toi qui provoques. Y a-t-il quelque chose de particulier que je doive graver sur ta tombe ? Je me tiens droite et fiĂšre, la mine hautaine et le regard assurĂ©. Je ne suis pas une proie facile et tu as rĂ©veillĂ© le serpent qui se cachait en moi. Je ne dĂ©sir plus qu'une chose, voir ton sang couler et prendre ta vie. Cessez d'entendre battre ton cĆur et tes poumons de Statum ! InvitĂ© Re ChĂąteau non-coopĂ©ratifInvitĂ©, le Jeu 1 DĂ©c - 1720 DĂ©solĂ© pour le temps de rĂ©ponse la baguette pointĂ©ecomme une arme moldueprĂȘte Ă tirerprĂȘte Ă tout pour gagner je suis prĂȘteelle ne me fais pas peurje suis courageuse et audacieuxles griffes sortiesle sang coule dĂ©jĂ sur ma peauje le sens dĂ©gouliner le long de mon ventreet les frissons les frĂ©missementqui parcourent mon corpsles poils qui se dressentje l'aije suis un homme Ă prĂ©sentje ne vais pas vous laisser le volerje suis un homme Ă prĂ©sentun homme gĂ©nĂ©reuxle sens de la vie qui se reflĂštedans mes yeuxcomme deux gouttes d'eau au milieu d'un lacet qui tombequi tombequi brillecomme un diamantje frappeles oiseaux-chiens qui tirent mes cheveuxparce queleurs dents ravageraient une barbe d'orj'ai perdudes amis sans yeux dont le sang se glacemon nouveau peuplesur ses talons silencieux prĂ©tend ĂȘtre ancienet je grelotteau milieu de tout ce mondequi me soulĂšveet me porteje frappe entre les deux yeuxcomme une mouchevolant autour de ma tĂȘteelle me dĂ©rangeje ne la supporte plusl'argent qui coulequi perle sur mon frontje frappecomme deux mains opalinesĂ©phĂ©mĂšresattrapent ces fils de soiequi recouvre et tire sur tes piedscomme les manettes d'un jeu horriblemarionnetteelle veut ĂȘtre un hommemais Ă prĂ©sentil est trop tardmais elle mentelle veut renaĂźtre encoresur mon dos marquĂ© d'un croixelle veut renaĂźtreau milieu des dĂ©monspeuplant ce monde de fouet mon curieux visagelaissĂ© entre les flammes d'un grand incendieelle veut renaĂźtre Ă nouveauelle se croit Puissanceelle se croit Dominationelle se croit AutoritĂ©mais elle n'est rienqu'un goutte de sang de plusqui tombera sur le sol enneigĂ©sur ce blanc cristaldessous mes ongles Ă©tincellesse dessine cette courbe duvetJe demande Ă voir !elle ne sait rienelle n'a rien donnĂ©ni argentni tempsni amourelle croit connaĂźtre la vieet toutes ses consĂ©quencesla psychologie humaine l'Ă©chappetotalementelle croit tout connaĂźtredes sentimentsdes Ă©motions des actesmais sait-elle que son histoire n'est rien comparĂ© Ă la vie ?elle veut toutl'argentla popularitĂ©mais ne se comprend pas elle mĂȘmeelle croit pouvoir gagnermais ne pourra rien faireface Ă un angeEverte Statumle sol mâaccueille avec joiemais pas pour bien longtempsje sens Ă peine la douleur qui transperce mes genouxet je suis dĂ©jĂ sur pieds elle ne comprend paselle ne comprend rienet la baguette toujours pointĂ©eet voilĂ que deux secondespourlancerce sortdeuxsecondespour rĂ©ussiret ne pasĂ©chouerfaceĂ cette Ă©preuveElectrocorpusVitesse supĂ©rieur Vanille FleurySerpentard Re ChĂąteau non-coopĂ©ratifVanille Fleury, le Ven 9 DĂ©c - 1705 Pas grave, je ne suis pas trĂšs rapide non plus 'Tant de douleur. Ă quoi cela sert-il ? Je me fais mal. Je lui fais mal. Je nous blesse. Pourquoi ? Pour moi. Pour vivre. Mais ce n'est pas vivre. Simplement survivre. Rester en vie. Toujours. Je peux le faire. Je sais le faire. Mais Ă quel prix ? Comment puis-je dĂ©libĂ©rĂ©ment faire du mal aux autres ? Pour me protĂ©ger. Me sauver. Mais c'est un Ă©chec. Tout ça ne mĂšne Ă rien. Je m'enfonce. J'Ă©touffe. Je meurs. Personne ne sait. Personne ne vois. Je crie. Je hurle je veux finir. Pourtant je suis lĂ . Je fais mal. Sans cesse. Sans arrĂȘt. Je n'ai pas le choix. C'est ma seule chance. Mon unique salut. Elle ne comprend pas. Elle ne saurait pas. Ce n'est pas grave. Je m'en veux. Je lui en veux. Car mĂȘme sans ce cauchemar permanent que je vis. Elle m'a mise hors de moi. Heureuse. Sereine. Stupide. Je l'ai haĂŻs dĂšs l'instant oĂč mes yeux se sont posĂ© sur elle. Gryffondor et Sepentard. Une vieille querelle. Quelque chose que je ne suis pas prĂȘte Ă essayer d'Ă©teindre. Non, juste rajouter de l'huile sur le feu. Ma baguette est dans ma main. Son contact de bois est rassurant au toucher. Crochet de serpent. Telle baguette, telle maĂźtresse. Une connexion si puissante en elle et moi que je n'envisagerais jamais de me promener sans elle. Plus qu'un simple objet. Comme une amie, une extension de moi-mĂȘme. Une parcelle de mon Ăąme qui a tant de foi offert la douleur Ă mes ennemis. Le venin coule en elle comme en moi. Il n'y a plus que nous. Seules contre tous. Ămes jumelles. Ămes sortilĂšge l'a touchĂ©e. Elle est tombĂ©e. Grimage de douleur. Onde de plaisir. Elle est debout. Tout est allĂ© trop vite. DĂ©jĂ sa baguette est sur moi. Mon visage se fige. Comme si le temps ralentissait. Ses mots rĂ©sonnent Ă mes oreilles tandis que je vois ses lĂšvres formuler un sort. Je veux bouger. Ăviter. Je ne peux pas. Je n'en ai pas le temps. En un Ă©clair le sortilĂšge vient me frapper en plein fouet. Je ne connais que trop bien la sensation de la choc Ă©lectrique me percute et m'arrache un hurlement. Je tombe Ă genoux. Douleur. Le sortilĂšge fut bref mais puissant. La souffrance. Cette douleur n'est rien comparer Ă ce que j'ai subi par le passĂ©. Mais cette formule rĂ©veille en moi une douleur bien plus ardente. Mes yeux se posent sur mon poignet. Toujours Ă terre. La tĂȘte baissĂ©e. Mes longs cheveux lisse d'un blond platine tombe comme une cascade devant mon visage. Mes yeux brillent d'un Ă©clat nouveau. Un Ă©clat de haine gravĂ© dans ma chaire. Mot que je n'oublierais jamais. Mot qui me fait mal. Mot horrible. TraĂźtresse. Telle une cicatrice, un aide-mĂ©moire, une plaie hideuse barrant mon poignet. TraĂźtresse. Existe-t-il pire comme mot ? Fait-on plus horrible ? Quand tu sais qui te l'a inscrit Ă la force d'un sortilĂšge. Parents. GĂ©niteurs. Ils devaient m'aimer. Ils m'ont torturĂ©. J'Ă©tais heureuse. Ils m'ont tout enlevĂ©. Albus⊠Et j'ai mal, mal, mal⊠Je me relĂšve. Doucement. Lentement. Je ne parle pas. TĂȘte inclinĂ©e. Je relĂšve le menton. La dĂ©visage. Froide. Glaciale. Hautaine. Cruelle. La haine tout entiĂšre a rempli mon ĂȘtre endolori. Je fus une victime. Je ne l'ai suit plus. Une enfance brisĂ©e. Une vie dĂ©truite. Une pression trop forte. Je me venge. De la vie. De mes pleurs. De mes cris. Des nuits blanches qui ne semblaient jamais vouloir se terminer. Je souris. Plus personneNe peuxMe briserJamais-Repulso InvitĂ© Re ChĂąteau non-coopĂ©ratifInvitĂ©, le Ven 30 DĂ©c - 1031 Deux yeux. BraquĂ©s sur moi. Deux diamants luisants. Qui brillent dans la pĂ©nombre. Ăa brĂ»le. Les rĂ©tines miroirs. L'Ăąme profonde et sanguine. Les pupilles. Qui se dilatent. Qui grossisent. Deux points noirs sur fond gris. Trois traits. Au crayon gris, sur la feuille blanche de la vie. Et ils s'estompent, disparaissent sous les Ă©clairs des Dieux. On m'observe sous les nuages, on m'observe par dessus les mers. Les nuĂ©es de papillons blancs qui volent autour de moi. Ces nuages d'ailes qui bat, qui bat, qui bat. Fort. Plus fort que les ocĂ©ans et les visages qui m'entourent. Trois doigts sur mon front, en signe de paix, en signe d'amour. Le soleil brille. Le soleil resplendit. Les dents blanches de leur sourire. La vie continue, mais pas avec cette revient. Je la sens au plus profond de mon Ăąme comme si elle avait disparu Ă tout jamais, et qu'elle Ă©tait finalement revenu beaucoup plus puissante qu'auparavant. Mes mains me chatouillent, me brĂ»lent comme une boule de feu bien trop puissante que ce que je peux supporter. Une goutte de sueur coule de mon front. Le long de mes tempes qui battent Ă tout rompre, de mon nez qui brille de malheur, de ma joue qui gonfle jusqu'Ă explosĂ©e, de mon menton qui pointe l'autre Terre en face, qui m'a l'air plus sympathique que la mienne et qu'il faut conquĂ©rir. Et puis. Ploc. Sur le sol, elle tombe. Cette goutte. Rapidement elle dĂ©gringole l'Ă©chelle de la vie. On dirait moi. Et. Ploc. Sur le sol. Elle forme une flaque. Une flaque minuscule. Il ne faudra pas glissĂ© dessus. Pour ne pas se s'Ă©taler. Pour ne pas paraĂźtre ridicule. Cette flaque, c'est le lac de Poudlard. Noir et profond. Sombre Ă ne jamais en finir. Un lac oĂč la noyade est assurĂ©e. Il faut faire attention, trĂšs attention. Je fais un pas, devant moi. Le lac est passĂ©, derriĂšre moi maintenant. Un cri dĂ©chire l'air. Juste en face de moi. La fille que j'essaye de dĂ©truire. Que lui ai-je fait dĂ©jĂ ? C'est une bonne question, je ne me souviens de rien. Mes souvenirs sont dĂ©jĂ loin, emportĂ©s par la magie. Boum. Ses genoux claquent le sol, dans un tonnerre de craquement. Elle est tombĂ©, comme la goutte du film dernier. Elle aussi est dans son film. Je sens sa rage dominer sa conscience. Je murmure quelque chose que moi mĂȘme ne peut pas entendre, sĂ»rement un juron ou une plainte. Elle se relĂšve dĂ©jĂ . Lentement mais sĂ»rement pourrait-on dire. MĂȘme si je ne suis pas sur du sĂ»rement. Elle me fixe. Avec ses yeux d'acier, dĂ©coupant l'espace qui nous entoure, et aspirant le peu d'air qui restait. On la croirait sorti d'un film d'horreur, avec sa baguette dans la main, telle une hache, ses cheveux blonds dĂ©coiffĂ©s par la chute, ses deux yeux braquĂ©s sur sa cible comme si elle ne voulait pas me lĂąchĂ©s. Elle ne veut pas me lĂącher. Et moi non plus d'ailleurs. Et je suis prĂȘte. PrĂȘte Ă esquiver. PrĂȘte Ă lancer. PrĂȘte Ă bouge, mais trop lentement. Elle lĂšve sa baguette, bouge ses lĂšvres. Le sort part, lancĂ© Ă pleine vitesse. Direction moi. Mais celui la ne me touchera pas. Alors je saute, je bondis, et rebondis. Le sol accueille mes pieds. Je plie les genoux. Le sort est allĂ© s'Ă©craser contre le mur derriĂšre moi, qui me dominait encore il y a quelques secondes. Je n'aurais pas aimĂ© ĂȘtre sous ce sort en voyant les dĂ©gĂąts causĂ©s au mur. Mais je ne dois pas perdre mon temps, profiter de son inattention pendant que je le peux encore. Je ne rĂ©flĂ©chis pas au sort et je lance tout ce qui me passe par la tĂȘte. Bombarda d'abord Ă droite, puis un deuxiĂšme Ă gauche. Et mon, dernier sur elle. J'espĂšre qu'ils vont passĂ©. Au moins un. Je souris. Me prĂ©pare Ă la deuxiĂšme vague d'attaque. Mes griffes sont prĂȘtes Ă dĂ©chirer. En fait, je ne ressens plus rien. MĂȘme pas de la haine. Presque cela m'amuse. Je sais qu'elle va perdre, qu'elle va abandonner car je la dominerai. Je suis bien plus forte. Vanille FleurySerpentard Re ChĂąteau non-coopĂ©ratifVanille Fleury, le Ven 30 DĂ©c - 1242 HRP J'expĂ©rimente un peu ces temps si, dĂ©solĂ©e ^^Ăa explose, ça se tous bruit est n'aime pas ça façon de quelqu'un aussi n'est pas pour prĂ©fĂšre la mĂ©thode l'autre. Glisser sournoisement un peu de dĂ©truire de l' le regarder se ses yeux bouche entrouverte pour un dernier son qui ne sortira voir l'autre ton rire sans t' les rires font bien plus que les il faut que je cesse de le combat est loin d'ĂȘtre gagnĂ©. Je plonge, j' le mur roche m' joue, le douleur expose et le sang marque de liquide rouge m'emplit la un Ă©clair je cette pelouse qui me paressait si le revois sa baguette brandie sur crie, je rien n'y sourire est carnassier et la douleur souffrance est cette joue qui sa bague qui me gifle. Ăa n'aurait servi Ă rien de se contre contre elleâŠC'est est plus douĂ©e que le partie car elle est plus puis surtout grĂące Ă ce qui montre bien son statut d' soulĂšve et la sort de la masse des autres devrais m'en assez de problĂšme comme ça avec l' pas que j'aime enfreindre le ce fichu prĂ©fet qui m'a bien sĂ»r empressĂ© de tout narrer avec quelle m'en Ă©tais pris Ă la comme je le si peur de me faire ma rĂ©action de mes ferait ils s'ils savaient ?Quel horrible chĂątiment trouverait-il pour me punir ?Je ne veux pas y si peur d' me dis la fuite est peut-ĂȘtre la doute lĂąche mais bien moins ne risque rien Ă ses yeux m'en Ă l' dĂ©truire et puis seulement peux la j'ai toujours faire j'ai blessĂ© l'autre ma propre de lui pas tomber du cĂŽtĂ© pas basculer dans la cĂŽtĂ©s moi au ne bouge peur de percuter l' m' dans le noir ou trop dans la Question de point de rouge est aujourd'hui je me le je serais lui montrerais mon vĂ©ritable que je cache sous mes jolis qu'on a faite de ont fait de montre les Ă la laisser liquide qui coule doucement dans mes on me l'a pour cercle est Ă©tĂ© lumiĂšre si elle s'Ă©tait appelĂ© crois, je pense, j' ce que je vulgaire pion qui s'acharne Ă maintenir l'Ă©quilibreJe n'ai plu qu'une seule mission et je ne faillirais mes pour ça que je tends ma nouvelle fois jâĂ©tends mon n'est pas pour pas pour dĂ©passe une petite ma tĂȘte en tout ai-je tort ?De m'acharner comme pis, j' la partie de ma Voyons tu t'en sors avec ça⊠InvitĂ© Re ChĂąteau non-coopĂ©ratifInvitĂ©, le Ven 27 Jan - 1648 Encore dĂ©solĂ© du temps de rĂ©ponse Prends ma main Ă travers les flammesRejoins moiJe suis accro Ă la douleurJe voudrais t'enchainerTe pendre par les piedsT'attacher la tĂȘte en basTe voir souffrirJusqu'au sangLa pression me donne de l'anxiĂ©tĂ©. Les deux mains en l'air, je crie, je crie. Je regarde, je vois. J'observe le monde de mes deux yeux de flammes. Dix orteils Ă terre. Je marche lentement Ă travers les flammes. Je les sens, me chatouiller, me caresser. Je souris. Je suis juste timbrĂ©s, je deviens folle, vivant la vie comme si tout Ă©tait incroyable. Le monde tourne, moi je reste immobile, plantĂ©e dans le sol, dans l'air, nageant avec les requins que j'embrasse. Ils me cherchent, me narguent, avec leurs viandes dĂ©goulinant de sang. Je dors un couteau cachĂ© sous mon coussin. Je couche avec le Diable pendant qu'il est encore temps. Dose complĂšte de dysfonctionnement prĂ©judiciable. Je pourrais me couper la tĂȘte juste aprĂšs m'avoir poignardĂ©. T'es qui pour me faire souffrir ? Ce n'est pas moi qui a dĂ©jĂ essayer de se trancher les veines avec un bout de verre d'un miroir cassĂ© ? Tu vois, je suis une ratĂ©e. Une ratĂ©e qui fait du mal. Je mange des toasts de mĂ©duse, toute nue au PĂŽle Nord. Cet endroit a glacĂ© mon cĆur, vide de tristesse et d'amour. Ăme perdue. Je ne crains rien, ni galĂšres, ni demain. Ne te plains pas, regarde moi, regarde ma souffrance et souffre. Reste lĂ oĂč t'es. Ne m'enmerde pas. Je vais doucement puis j'accĂ©lĂšre le rythme? Toujours plus vite. Toujours plus vite. Danser plus fort que les flammes. Tu sens ton coeur battre ? Alors profite de cette sensation pendant qu'il est encore temps. Les balles volent, partout dans la piĂšce. Elles courent autour de moi. Les chiens aboient. Ils me mordent, dĂ©chirent ma peau avec leurs dents. Le sang coule sur mon visage, mon pelage d'humain. Je cherche, je me cherche. Tu as tord de t'attaquer Ă moi. Reste oĂč tu es. La cage se resserre. Je me rapproche, doucement, telle une yeux percent l'obscuritĂ© lumineuse. Je te vois, ta baguette dans la main. Gangsta. Tu ne sais pas Ă cĂŽtĂ© de quel psychopathe tu es. Recule, avant que la mort suive. Mes mains m'Ă©chappent. Je tire. Dans tous les sens, partout, ici, ailleurs. Explosion du sol. Explosion de mon coeur. Que fais-je ? Serpent serpillĂšre. Tu laves le sol avec ta petite queue. Nettoie bien, tout doit ĂȘtre propre pour mon passage. Allez astique et dĂ©crasse. Rince et savonne. Il ne doiut avoir aucune trace. Aucune. ZĂ©ro. Ou tu seras punie. SociĂ©tĂ© suis Ă dĂ©fie les dĂ©fie les mystĂšres et les moi tranquille. Je ne rĂ©agis pas assez vite. Ton muscle se tire et sâĂ©tend. Je te vois. Lever ton bras. Je souris. Je vais bientĂŽt souffrir. Tes yeux-lames me repoussent. Tu rages, tu grognes. Petit bĂ©bĂ© trop gĂątĂ©. Tu ne sais pas ce que câest la vraie vie. La dure. Celle qui dĂ©truit et grandit. Celle qui te montre Ă quel point ta vie ne sera quâun infime passage dans la vie de lâĂȘtre humain. A quel point tu nâes quâun petit point sur la Terre, tellement petit quâon ne te voit mĂȘme plus. Tu ne connais pas ça toi ? Tu te crois puissante. Tu crois pouvoir changer le monde, sourire au mal ou au bien. Quâes tu dâailleurs ? Nan, ne me le dis pas. Je ne veux pas sur ma peauDu feu mâest tombĂ© sur mes brasJe vois rouge, je vois noirJe ne vois plus rienDes petits bonhommes se promĂšnent sur mes avant-brasOĂč sont les pompiers ? Au feu, au feuYâa la maison qui brĂ»leSauvez moiOĂč est le paradis ?Laissez moi le rejoindreOuvrez moi les portesCa brĂ»le, ça brĂ»le Eau, eau, eauNon, je ne sens rienRĂ©sisteLarme Ă lâĆilNonRien du toutJe suis toute puissanteJe suis la TerreLe temps dĂ©fileLe sol se rapprocheTiens bon petit soldatLes secours arriventDĂ©fend-toiAu lieu de rester immobileAgisDĂ©truisConstruis la mortFais souffrir la souffranceFait dormir le serpentFait tordre son corpsMetalo scencioSouffre petite bestioleTu vas en baverJe vais tâanĂ©antir comme un pauvre petit insecteEt oublier mes brĂ»lures. Je soignerai ça plus tard. Vanille FleurySerpentard Re ChĂąteau non-coopĂ©ratifVanille Fleury, le Sam 11 FĂ©v - 901 La bataille vibre autour de de deux parfaite idĂ©aux non cette douleurâŠCe mal qui ronge, qui les flammes tout colĂšre et ce monde oĂč la justice est perdue. Les belles phrases s'oublient pour ne garder que la souffrance qui reste, prend et tourne autour de moi, autour d'elle pour nous et le monde. Qui lui aussi ploie sous le feu. Mais les hommes ne remarquent pas, jamais, aveuglĂ©s par la beautĂ© et la puissance des flammes, il n'observe pas la fumĂ©e, les traces que les flammes laissant. Le feu est monstre, danger, horreur. Et moi je l'ai libĂ©rĂ©. Pourquoi ? Pour elle⊠Pour cette fille qui est mon opposĂ© en tout point et qui attise la haine dans mon organisme sans me mĂ©nager. Mais moi aussi je dois arracher ma douleur, je ne suis pas forte, je ne le suis plus. Une simple crĂ©ature de l'enfer, Ă qui on a dĂ©chirĂ© les ailes, je suis un ange noir, une dĂ©mone. Viens te battre petite lionne, tout qui est blanche dans ce monde sombre, toi qui gardes peut-ĂȘtre encore un peu d'humanitĂ© en toi. Peut-ĂȘtre auras-tu mes rĂ©ponses, peut-ĂȘtre dois-je venir les chercher dans ton sang ? Ne me mens pas je sais qu'il y a en toi, un brin de vitalitĂ© qui me fait tellement je suis jalouse, je ne le cache plus et c'est pour ça que je veux te voir gisante, fille, oui brisĂ©e au sol comme je le suis dans les enfers, pour que tu souffres comme je saigne, que tu pleures, que nous mourions ensemble. Je suis fille des tĂ©nĂšbres, enfant du diable, cruelle, manipulatrice et je me ris. De tout de toi, de ta faiblesse comme de ta force. J'ai ma vie lĂ , ici, je la sens entre mes doigts brĂ»lant de malheur. Je pourrais te la confier, je n'en ferais rien, elle est encore Ă moi, j'en ai encore besoin. Je sens lâadrĂ©naline qui circule, porte ma main Ă ma joue pour l'en retirer couverte de sang. Le liquide rouge coule, roule, fuis sur mon bras. Magnifique⊠Je lape le rubis comme un chiot cherchant le lait de sa mĂšre. Un goĂ»t de mĂ©tal explose entre mes lĂšvres et je jubile, mes yeux explosent, mes pupilles se dilatent, je ne suis plus moi je ne suis que diablesse. Regard fou, dents rouges, je deviens accro Ă cette nouvelle boisson, j'en veux encore, tu entends petite fille . Mais ma prochaine gorgĂ©e viendra de toi. J'ai soif⊠J'ai mal⊠Je vois les flammes qui se je l'aperçois elle du feu, marchant parmi les un cauchemar, comme un la vois qui s' sauvage au pied vit, elle moi, pour ce tourne Ă l' qu'il n'y a pas de ma tĂȘte ma bouche rire dĂ©ment, un rire de se rĂ©pand travers le vois sa baguette qui se lĂšve, je n'ai plus peur, je vois ses lĂšvres qui bougent et je souris. J'entends un bruit qui file, je sens l'acier qui mord ma chaire. Et je souffre. Crie, crie, crie plus fort. De cette entrave, cette douleur, qui brĂ»le et me consume de l'intĂ©rieur, je dois sortir, je me dĂ©bats. Les liens se resserrent. PlaquĂ©e au sol, je vois la lumiĂšre brĂ»lante se rapprocher, le mĂ©tal qui m'entaille tandis que je combats mes chaĂźnes, je crie, gĂ©mis. Les larmes coulent, lave en fusion sur mes joues, yeux d'Ă©clairs, yeux de noirceur, j'ai mal, mal, mal. La fureur s'empare de mon ĂȘtre, je ne suis plus moi, je ne l'ai sans doute jamais Ă©tĂ©. Je veux sortir ! Animal captif, lâinstinct d'horreur s'empare de moi, mon cĆur bat trop vite, mes yeux roulent effrayĂ©s. Qu'ai-je fait ? Pourquoi suis-je ici ? Que s'est-il passĂ© ? Les questions se bousculent en tendant Ă me faire exploser mais, elle n'y arrivera pas, je suis forte, bien plus forte. MĂȘme dans ma douleur, dans mes pleurs. Alors ma respiration se calme, mon part animal se rendors, je me maĂźtrise pour rester en vie sentant la brĂ»lure du filet sur ma peau. Uniforme en lambeau je cherche des yeux la lionne mais ne peux pas bouger ma tĂȘte plaquĂ©e sur le sol. Je le regarde mais mes yeux sont diffĂ©rents, empreints d'un respect nouveau, je souris. Nous nous sommes battue, elle a gagnĂ©, j'ai besoin de ma vengeance mais je ne suis pas en Ă©tat de la rĂ©clamer. J'aime cette lionne, d'une haine brĂ»lante. Je souffre mais mes lĂšvres fendues s'ouvrent encore une fois. Mon regard de tueuse reste et ma folie meurtriĂšre ne me quitte pas. Je ne suis plus rien, Ăąme dĂ©truite, brĂ»lĂ©e et enchaĂźnĂ©e. Je murmure pour elle, pour moi, pour le monde⊠- Le mĂ©tal m'entaille et le goĂ»t du sang qui emplit ma bouche me parle de dĂ©faite⊠Je suis prisonniĂšre comme tu es libre, lionne, me voilĂ enchaĂźnĂ©e car quelqu'un se doit de perdre, aujourd'hui c'Ă©tait Ă mon tour, je ne puis bouger, je ne puis me battre, simplement t'observer et jalouser cette force qui Ă©mane de toi. Alors laisse-moi te remercier, sĆur de douleur. Pour la leçon de vie et de souffranceâŠJe m'oublie lentement, je suis Ă sa merci et pourtant tellement moi. Je griffe, lionne, je mords, j'envenime et je tue. Fais attention et n'approche pas, aujourd'hui je suis le cobra, enchaĂźnĂ© certes, mais bien vivant. Alors viens, enfant, viens me rejoindre que je t'attrape, que je plante mes dents dans ta chair, je te respecte comme je te hais, vois la haine au fond des mes yeux brĂ»lants, regarde et approche⊠InvitĂ© Re ChĂąteau non-coopĂ©ratifInvitĂ©, le Sam 11 Mar - 008 DĂ©solĂ© pour ce rp un peu pourri xEt voilĂ . C'est fini maintenant. Tout est terminĂ©. Tu peux t'en aller tranquillement. Elle a perdu. Et tu as gagnĂ©. C'est fini. Tu peux partir, la laisser lĂ , et filer comme une voleuse. Tu pourras retrouver ton lit, te recroqueviller sous la couette et tout oublier le temps d'une sieste infinie. Tu pourras marcher, sous la pluie ou le soleil, avec un sourire aux lĂšvres, fiĂšre et contente de l'avoir vaincue. Tes pas se feront lĂ©ger, effleureront le sol et caresserons les touffes d'herbes. Et tes bras se balanceront tels la pendule du chĂąteau. Tu cligneras des yeux, savoureras ce plaisir, cette victoire. Tes doigts se dĂ©crisperont et tes mains lĂącheront ta baguette en bois d'amande. Les feuilles d'arbre voleront autour de ton corps en parfaite harmonie avec la nature. Et tu sourieras, encore et encore. Tes lĂšvres Ă©tirĂ©es vers le haut. Et tu savoureras ta victoire. Ayant enfin effectuĂ© quelque chose de ta vie. Et tu marcheras, jusqu'Ă en mourir. Jusqu'Ă la dans sa cage de mĂ©tal, elle t'observe, te scrute. Son Ă©go en prend un sacrĂ© coup. GrĂące Ă toi. Regarde tes mains, ce sont elles qui ont vaincu cette pauvre fille. C'est toi qui l'a combattu, qui la vu flĂ©chir, qui l'a vu se soumettre. Ce sont tes yeux qui l'ont Ă©blouis. C'est toi seule, toi et seulement toi. Tu as agi, enfin. Elle paraĂźt si fragile, si facile dans ce filet qui l'enchaine et l'entrave. Tu t'es dĂ©fendu, jusqu'au bout, tu t'es battu, et tu ne t'es pas laissĂ© faire. Applaudis toi. RĂ©jouis toi. Et laisse la dans son malheur, sa tristesse et sa haine. RelĂąche toutes Ă©motions qu'il pourrait encore exister au sein de ton coeur. DĂ©tend toi. Elle est hors de danger. Laisse la danser, gesticuler et parler. Ne l'Ă©coute pas. Ne la laisse pas t'amadouer. Tu en as trop eu pour aujourd'hui. C'est fini maintenant. TerminĂ©. Tu es libre. Et elle est perdue. Tu lis la haine dans ses yeux, mais elle ne lit rien dans les tiens. Car tu ne dis rien, ne fais rien. Reste et arrĂȘte de t'inquiĂšter. C'est fini maintenant. C'est te voilĂ sur le chemin du repos. Tu es allĂ©, tu as vu, tu as vaincu. C'est comme ça maintenant. Tu es forte et puissante. Et tu peux allĂ© te coucher tranquillement et t'abandonner dans la paix qui parcoure tout ton corps. Tu peux maintenant te recroqueviller comme un petit bĂ©bĂ© perdu sans sa maman. Tu peux trouvĂ© le temos maintenant. C'est fini. Tout est du rp pour moi !Merci ⥠Vanille FleurySerpentard Re ChĂąteau non-coopĂ©ratifVanille Fleury, le Sam 11 Mar - 1224 Sorry panne d'inspiration /Le RP Ă©tait vraiment super ! ______________________________Le combat est lionne Ă garde le goĂ»t amer de la qui emplit la tu ne peux plus rien lionne part, s' serres les cesses de te ne sert Ă rien, querelle est bien trop Ă rester prisonniĂšre j'enrage, qui pourrait me sortir de ce sale pĂ©trin quand bien mĂȘme je pourrais avertir quelqu'un. Mais je sens un bout de bois sous ma main, ma baguette, je dois ne jamais avoir Ă©tĂ© aussi heureuse de la retrouver. Je soulĂšve ma main avec difficultĂ© causĂ©e par le filet de mĂ©tal et fini par pointĂ© mon arme en direction des mailles bien trop serrĂ©es. Diffindo Au fur et Ă mesures du sortilĂšge prononcĂ© et re-prononcĂ©, je parviens doucement Ă me libĂ©rer de l'emprise du fer. Je suis dans un sale Ă©tat mais le carnage est encore pire autour de moi. Alors je prend ma baguette et la pointe vers les murs et tableau cassĂ© par le bombarda de la jeune Reparo, AguamentiPlus de fumĂ©e, objet rĂ©parĂ©s, je prĂ©fĂšre remettre un peu d'ordre au cas ou un membre du personnel voir un prĂ©fet dĂ©ciderait de passĂ© par ici. Une fois le travail achever je commence Ă marcher, sans rĂ©ellement savoir oĂč je vais, pas en cours c'est certain, il faut que je soigne mes plaies, une nouvelle flopĂ©es de cicatrices qu'elle m'a infligĂ©e. Si elle pouvait savoir Ă quel point je la haĂŻs, l'envie de la retrouver et si forte⊠Pourtant je sais que je ne peux plus rien faire dans cet Ă©tat en tout cas. Mais un jour je la retrouverais, je m'en fais la promesse et ce jour ce sera Ă son tour de mordre la soupire je m'arrĂȘte un instant, m'appuyant contre un mur pour reprendre mon souffle. La rouge et or ne m'a pas mĂ©nagĂ©e, jâespĂšre avoir la force de me traĂźner jusqu'aux cachots pour rentrer dans mon dortoir. La tĂȘte me tourne, le sang se mĂȘlent Ă mes cheveux, jâespĂšre ne croiser personne dans cet Ă©tat mais je suis bien consciente que rien ne serait arrivĂ© si je n'avais interpellĂ©e cette fille pleine de sĂ©rĂ©nitĂ© si j'avais fermĂ© mes lĂšvres et que le serpent s'Ă©tait tu. Alors peut ĂȘtre que j'aurais pu Ă©viter de me faire ainsi lyncher par la jeune serpent si tu Ă quel point je te tâempares de moi sans crier me voilĂ bien en miette, honneur sais pour ne pas avoir rĂ©sister⊠J'aurais aimĂ© avoir su t' pas t'Ă©couter juste un n'en serait pas là ⊠[Fin du RP] Hugh DeyLĂ©gendeGryffondor Re ChĂąteau non-coopĂ©ratifHugh Dey, le Mar 28 Mar - 949 RP prĂ©cĂ©dentJâavais fait mon premier piĂšge. La nuit Ă©tait encore prĂ©sente sur le chĂąteau Poudlard. Moi, ayant pris lâapparence de SergeĂŻ Kholov, je poursuivais ma mission. Et surtout aprĂšs tout cela, je me devais dâagir normalement. Comme si rien nâallait se guidait mes pas avec rapiditĂ© et efficacitĂ©. Jâavais mis du temps, comme toujours, Ă faire le premier sortilĂšge. Jâen mettrais encore dans ce dĂ©dale de couloirs. Lâobjectif, en ces lieux, Ă©tait simple tracer des limites dâĂąge au sol et les faire se dĂ©clencher au moment opportun. Ainsi, les Ă©lĂšves seraient alertĂ©s par le bruit. Mais ils seraient aussi incapables de traverser certains couloirs. Ils nâauraient le droit de se rendre que dans les endroits touchĂ©s pour lire les petits mots que je leur aviez laissĂ©Mon sourire sâĂ©largit en y pensant. CâĂ©tait drĂŽle et diabolique et extrĂȘmement bien pensĂ© aussi. Et puis, pour une fois, jâavais lâoccasion de dĂ©fendre mes couleurs. De faire ce que je pensais juste sans forcĂ©ment mâen prendre Ă tout le monde. Je ne faisais que passer mon message. Notre messageGrĂące Ă plusieurs Licens Saeculum Nobstatis Condicionalis, je facilitais le chemin vers mes messages, jâempĂȘchais lâautre vers le lieu principal de lâaction. Pas dâobstacle pour ce que nous souhaitions condition, comme pour les autres, viendrait en temps et en heure voulue. Quant Ă la limite dâĂąge hahaha⊠FĂ©lix pensait que 87 ans Ă©tait assez respectable. AprĂšs tout, personne dans ce chĂąteau nâavait atteint cet Ăąge canonique. Tout le monde, moi y compris, serait touchĂ© par cette ligne et câĂ©tait parfait. Pas de passe-droit pour que Felix Ă©tait lĂ , car je savais que je nâaurais pas pu rĂ©aliser autant de sortilĂšges conditionnels que je le devais cette nuit, sans lui. Avec lui je savais que je pouvais y arriver. Et mĂȘme avec de la chance, je parvenais Ă les faire plus rapidement et plus proprement que jamais. Sans mĂȘme me sentir Ă©puisĂ©. Pour le limites dĂ©posĂ©es, il Ă©tait temps dâaller de lâavant[RP Unique. Les sortilĂšges dĂ©crits ne se dĂ©clencheront quâau signal. Vous verrez bien quand il apparaĂźtra.] Kyara BlanchetLĂ©gendeSerpentard Re ChĂąteau non-coopĂ©ratifKyara Blanchet, le Sam 1 Avr - 1625 LA d'AlhenaLaissant Aaron comater sur le canapĂ© et quittant l'appartement, Kyara avait remontĂ© les couloirs du personnel de Poudlard et Ă©tait tombĂ©e nez Ă nez avec Alhena Peverell, la professeure d'Histoire de la Magie. Baguette en main, elle semblait tout aussi intriguĂ©e que sa collĂšgue. AprĂšs quelques paroles Ă©changĂ©es, elles se rendirent bien compte que ni l'une, ni l'autre ne savait ce qui Ă©tait en train de se passer, mais que c'Ă©tait tout sauf quittĂšrent donc ensemble d'un pas rapide, les couloirs du personnel, pour ceux de l'Ă©cole. Des cris rĂ©sonnaient dans le chĂąteau. Serrant fortement sa main sur sa baguette, la Fourchelang ne pouvait que se souvenir des derniĂšres attaques et de la mort de Renata. DĂ©cidĂ©ment, il se passait plus de choses Ă Poudlard qu'ailleurs dans le pays. LĂ©gĂšrement en avance sur Alhena, plusieurs choses se passĂšrent alors en mĂȘme temps. Une sĂ©rie d'explosions, de cris se firent entendre tandis que la Française entra violemment en collision avec ... un mur. Se tapant le nez et le front, elle se plia en deux, main gauche sur le nez avant de tendre son bras droit vers sa collĂšgue pour lui faire signe de s'arrĂȘter. Se redressant, Kyara enleva sa main dĂ©licatement et constata qu'elle Ă©tait en train de saigner. - La vache ça fait mal. Alors qu'elle aurait pu le faire, Alhena s'approcha de la Française pour la soigner. Le saignement s'arrĂȘta alors, mĂȘme si la douleur continuait de battre dans son nez et son front. Au moins, elle ne saloperait pas de trop le sol du couloir. Tendant la main devant elle, elle fit deux pas avant de se sentir une force invisible l'empĂȘchant de Tu en penses quoi ?- Limite d'Ăąge, assez grande pour nous empĂȘcher de Super. On devrait pouvoir la faire tomber Ă deux en se de se concentrer quand ça faisait boum boum dans la tĂȘte, mais elles n'avaient pas le choix si elles voulaient continuer. Plus de doute, le chĂąteau Ă©tait bel et bien attaquĂ© ! Alhena PeverellResponsable MDJ-GHarryPotter2005 Re ChĂąteau non-coopĂ©ratifAlhena Peverell, le Sam 1 Avr - 2241 Les cendres tombent, comme le monde comme le chĂąteau Les feux de l'enfer sont sur le point de s'enclencher et tu vis dans l'ignoranceUne histoire se raconte sur des pages blanches, alors qu'une autre s'Ă©crit Ă l'encre rouge sur du noir. Les bruits avaient attirĂ© l'attention et tu Ă©tais sortie de la taniĂšre. Puis une rencontre, un Ă©change de mot et des questions sans rĂ©ponse. La baguette tourne dans une main, tu laisses la premiĂšre place Ă Blanchet. Tu restes en arriĂšre, l'observes d'un oeil intriguĂ© pour de temps en temps regarder derriĂšre. L'air bourdonne de cris et d'une atmosphĂšre malsaine. Le chaos se rĂ©pand en rigolant et tu frissonnes en l'entendant. Tu aurais prĂ©fĂ©rĂ© ĂȘtre de son cĂŽtĂ© que d'ĂȘtre attaquĂ©. Bourreau ou victime ?Le choix est vite faite quand c'est toiUn autre bruit, un mauvais sourire dans un mauvais moment. Une lĂ©gĂšre culpabilitĂ© et un Episkey lancĂ©. La main s'aventure, le corps suit et bute sur une paroi, une vitre qui vous retient Ă l'extĂ©rieur. Pas de plein fouet, simplement pour tester, comprendre. Une rĂ©flexion, un savoir qu'on est allĂ© chercher. Les mĂ©ninges s'enclenchent. C'est certainement une...Limite d'Ăąge, assez grande pour nous empĂȘcher de faire tomber Ă deux, oui bonne idĂ©e. Certainement. Mais pourquoi est-elle ici ? On dirait que nos attaquants cherchent Ă nous tenir Ă©loignĂ© de quelque chose. De quoi, qu'est-ce que c'est ? Tu prends un temps de rĂ©flexion, est-ce les mangemorts ? Tu n'en as pas le coeur net, ça se pourrait bien. Et si c'est le cas, oĂč est donc Evan ? Peut-ĂȘtre qu'il Ă©tait Ă l'origine mĂȘme de cette barriĂšre, pour ne pas que tu t'en mĂȘles. Mais tu n'avais aucune certitude, tu lui lanceras un Patronus aprĂšs avoir annihiler cette limite. Hors de question que tu restes ici alors que des Ă©lĂšves pouvaient ĂȘtre en danger. Tu te reconcentres, tu penseras Ă lui ou mĂȘme Ă ton frĂšre ensuite. D'ailleurs il est oĂč ce crĂ©tin ?Fermant les yeux quelques secondes, tu rĂ©flĂ©chis vaguement au sort Ă lancer. Peut-ĂȘtre un peu compliquĂ© dans une atmosphĂšre comme celle-ci, mais vous n'aviez pas le temps de prendre un thĂ© pour vous dĂ©tendre. Il fallait faire tomber ce truc et aider les autres. Tu te tournes rapidement vers Kyara, tu expliques vite fait ce que vous devez faire, ne sachant pas si elle a eu le temps de se remĂ©morer la chose. Puis,Encore des bruits Encore des crisTu fermes les yeux Ă nouveauJuste quelques secondes,c'est insupportable, le silence te manquetu grinces des dents et reviens dans la rĂ©alitĂ©J'espĂšre que ça ira. Est-ce que tu es prĂȘte ? Ă plonger dans l'horreur Kyara BlanchetLĂ©gendeSerpentard Re ChĂąteau non-coopĂ©ratifKyara Blanchet, le Dim 2 Avr - 130 - Certainement. Mais pourquoi est-elle ici ? On dirait que nos attaquants cherchent Ă nous tenir Ă©loignĂ© de quelque chose. De quoi, qu'est-ce que c'est ? Bonne question. Pourquoi la limite d'Ăąge Ă©tait prĂ©sente. Pour empĂȘcher les sorciers de passer, c'Ă©tait sur. Tant les Ă©lĂšves que les membres du personnel de Poudlard ou tout du moins, ceux dans la vingtaine. Curieuse, la professeure de Soins Aux CrĂ©atures Magiques se demanda Ă quel Ăąge la limite avait Ă©tĂ© fixĂ©e. Soit les attaquants Ă©taient des croĂ»tons, soit il y avait un seul itinĂ©raire, soit ils avaient empruntĂ© un passage secret. Bref, plusieurs possibilitĂ©s, peut-ĂȘtre qu'elles Ă©taient toutes fausses d' mordillant la lĂšvre tandis qu'elle essayait de rĂ©flĂ©chir, Kyara haussa les Ă©paules. S'ils ne voulaient pas qu'ils passent, c'Ă©tait qu'ils ne voulaient pas ĂȘtre dĂ©rangĂ©s. Il y avait eu des explosions, ils voulaient occuper tout le monde le temps de faire .... On ne savait quoi. Pour le moment, ça n'Ă©tait pas vraiment le questionnement principal. Les deux professeures devaient faire tomber cette limite d'Ăąge. Pas non seulement pour qu'elles puissent passer, mais pour permettre Ă quiconque de le Ă©lĂšves n'Ă©taient pas assez puissants pour annuler le sortilĂšge contrairement aux adultes. Pour peu qu'il y avait des Ă©lĂšves blessĂ©s, ils devaient ĂȘtre bloquĂ©s quelque part. S'il y avait bien quelque chose que la professeure de Soins Aux CrĂ©atures Magiques ne supportait pas, Ă©tait les Ă©lĂšves morts. Il fallait Ă chaque fois remplir 8249255 parchemins expliquant la situation, les consĂ©quences. Bref, de la paperasse encore et encore et encore. Alhena la tira alors de ses pensĂ©es lui expliquant la marche Ă suivre. La Fourchelang grimaça lĂ©gĂšrement, enchaĂźner les contre sorts demandait pas mal d'Ă©nergie, elle espĂ©rait donc qu'elles ne devraient pas se battre. La professeure d'Histoire de la Magie Ă©tait encore en bon Ă©tat contrairement Ă Kyara. Foutue limite d'Ăąge. - J'espĂšre que ça ira. Est-ce que tu es prĂȘte ? - C'est pas comme si on avait le Ă©taient encore seules, autant faire disparaĂźtre cela avant l'arrivĂ©e d'autres sorciers. Inspirant profondĂ©ment, l'ancienne Serpentard commença en prononcer des contre sorts, trĂšs vite Alhena en fit de mĂȘme. Cela n'allait pas cĂ©der si facilement, mais elles allaient rĂ©ussir. Alhena PeverellResponsable MDJ-GHarryPotter2005 Re ChĂąteau non-coopĂ©ratifAlhena Peverell, le Dim 2 Avr - 1921 LA de KyaraC'Ă©tait certain, vous n'aviez pas vraiment le choix. Ou alors si. Vous auriez pu faire vos imbuvables humaines, partir et prendre un thĂ© dans un des appartements. Quoi que toi, peut-ĂȘtre que ça ne changerait pas grand chose. C'est pas comme si tu ressentais beaucoup de chose en vrai. Les sentiments, la question de culpabilitĂ© tu prĂ©fĂ©rais les Ă©viter. Mais les pulsions revenaient sans prĂ©avis. Tu te retrouvais face Ă un miroir, oĂč tu devais accepter un certain nombre de chose, que tu Ă©vitais chaque jourLĂąche Soupirant, tu observes Kyara enchainait les sorts. Tu t'attĂšles Ă la tĂąche le plus vite possible. La langue claque, les muscles se contractent, la fatigue gagne en terrain. Mais vous ne vous arrĂȘtez pas. L'Ă©cole est attaquĂ©e et ce n'est certainement pas une foutue limite d'Ăąge qui allait vous arrĂȘter. Certains sorts rebondissent Ă cause d'une mauvaise prononciation, tes esprits s'enveloppe de brume. Tu tentes de rĂ©flĂ©chir Ă ce qui se passe dans le chĂąteau, oĂč sont les autres. Comment va ton frĂšre, tes disciples, le pĂšre de tes enfants. Un sourireEt le monde extĂ©rieur ? Est-il au courant de ce qui se trame dans le chĂąteau ? Est-ce que ta famille s'inquiĂ©tait ? Tu ne devais pas Ă©chouer, pour euxCela commence sĂ©rieusement Ă m'Ă©nerve, nous n'avons pas que ça Ă faire. Cette foutue limite d'Ăąge me tape sur les prenez une lĂ©gĂšre pause pour reprendre souffle. Puis d'un accord commun, vous vous remettez au travail. Cette chose allait finir par cĂ©der, vous n'Ă©tiez pas des incompĂ©tentes tout de mĂȘme. Si certains y arrivent facilement, vous finirez par arriver au bout. Il n'y avait aucune raison. Vos matiĂšres n'Ă©taient peut-ĂȘtre pas prĂ©disposĂ©es Ă la chose, mais ça ne voulait rien dire. On trouvait dans les soins aux crĂ©atures magiques, des demandes de sortilĂšges bien puissantes. Et puis toi, tu n'Ă©tais pas qu'une bibliothĂšque sur pattes. Les entrainements de jeunesse et ceux que tu faisais encore aujourd'hui, te permettaient de faire pas mal de chose. On devrait essayer de se coordonner un peu mieux. Tentons de viser le mĂȘme endroit, au mĂȘme moment avec le mĂȘme sortilĂšge. Puis on recommence avec un autre sort. Cela donnera plus de puissance aux sortilĂšges et Ă l'impact, on crĂ©era une brĂšche peut-ĂȘtre. On avancera certainement plus vite aprĂšs. LĂ , le temps presse, nous ne pouvons pas nous permettre de rester ici des heures. Lançant un sourire Ă ta collĂšgue, vous vous mettez d'accord sur un sort bien prĂ©cis et sur l'enchainement Ă suivre. Vos sorts se prĂ©cipitent vers un mĂȘme endroit, vous continuez ainsi pendant quelques dirait que quelque chose est en train de se produire. Cela est plutĂŽt bon signe vous alliez bientĂŽt pouvoir courir vers l'ailleurs InvitĂ© Re ChĂąteau non-coopĂ©ratifInvitĂ©, le Dim 2 Avr - 2114 Il y avait une drĂŽle d'ambiance dans le chĂąteau sans qu'elle ne puisse la saisir. Cela rampait partout tout en Ă©tant nulle couloirs Ă©taient terriblement silencieux. Ce calme transit de froid la mettait mal Ă l'aise. Un faible clapotis rĂ©sonnait sur les elle la sentit. Une odeur se dissipait ; elle ne capta que les relents. Elle ne sut dĂ©finir mais cela la prit au oĂč Ă©tait passĂ© tout le monde ?Eurydice se dirigeait vers les dortoirs pour rĂ©cupĂ©rer un ouvrage. Son corps refusait de se dĂ©tendre et elle en avait bien besoin. Maintenant en proie Ă des nausĂ©es ;une irritation grandissante lui chatouillait la peau Ă mesure qu'elle s' cri strident retentit enfin ainsi que des bruits de pas affolĂ©s, dĂ©sordonnĂ©s. *Mais qu'est ce qu'il se passe bon sang ?*Elle eut soudain une envie malsaine de faire taire ce cri hystĂ©rique, de l'Ă©craser. Cela n'aidait pas Ă calmer ses nerfs. Ses mains devinrent pensĂ©e lui mordillait l'oreille, jusqu'au sang. Elle la fit taire d'un fallait absolument qu'elle s'informe, qu'elle trouve des professeurs. Elle passait son temps, enfermĂ©e dans son monde et maintenant elle Ă©tait prise au dĂ©pourvu. La situation lui Ă©chappait totalement. La brune poursuivit son chemin Ă une allure folle bifurquant Ă droite. Elle devait premiĂšre chose qu'elle vit, c'est un visage familier et des autre. Ses lĂšvres s'ouvrirent mais les mots moururent sur celles-ci. Elle Ă©tait fascinante habillĂ©e de son air deux professeures Ă©taient en pleine discussion. Elle comprit quelques bribes. Pas ne put se rĂ©soudre Ă s'imposer mĂȘme si des questions lui brĂ»laient les lĂšvres et fit finalement quelques pas dans la direction inverse dans une naĂŻvetĂ© enfantine. L'hĂ©sitation l'avait tiraillĂ©e et elle avait fait le mauvais glissant. Souffle coupĂ©. C'Ă©tait une cacophonie infernale dans son crĂąne Ă coups de grĂ©sillements. Quelque chose se fracassa en elle, tandis que son crĂąne effleura le sol. De longues secondes tombĂšrent toutes ensemble. L'invisible mais concret mur, l'avait trahie sans une once de remords. La Serpentard resta dans l'obscuritĂ© encore un petit moment. Elle aurait voulu crier mais le silence se logea profondĂ©ment dans sa gorge. Son humeur dĂ©cida de la laisser en ressemblait Ă une Ă©toile avec ses cheveux bruns Ă©talĂ©s sur le sol. Kyara BlanchetLĂ©gendeSerpentard Re ChĂąteau non-coopĂ©ratifKyara Blanchet, le Dim 2 Avr - 2238 Les sorciĂšres se lancĂšrent ensemble dans une sorte de chant, ou priĂšres, difficile Ă savoir quand on voyait la scĂšne de l'extĂ©rieur. En tout cas, elles enchaĂźnĂšrent les contre sortilĂšges. Marquant une pause, elles reprirent leur souffle et Alhena commença Ă montrer son agacement. ComprĂ©hensible, mais ça n'Ă©tait pas avec la colĂšre qu'elles allaient rĂ©ussir Ă faire tomber la limite. Maudissant le sorcier l'ayant mise en place et espĂ©rant qu'il allait mourir dans d'atroces souffrances, la professeure de Soins Aux CrĂ©atures Magiques souffla sur une mĂšche folle barrant son avait toujours mal d'ailleurs, il faudrait qu'elle se soigne d'ici la fin de la journĂ©e si elle ne voulait pas finir dĂ©figurer pour le restant de ses jours. Elle exagĂ©rait un peu, mais bon. Il ne fallait pas nĂ©gliger les vieilles blessures, celle qu'elle avait eu dans le passĂ© Ă la cheville ne cessait de lui rappeler Ă chaque fois qu'il On devrait essayer de se coordonner un peu mieux. Tentons de viser le mĂȘme endroit, au mĂȘme moment avec le mĂȘme sortilĂšge. Puis on recommence avec un autre sort. Cela donnera plus de puissance aux sortilĂšges et Ă l'impact, on crĂ©era une brĂšche peut-ĂȘtre. On avancera certainement plus vite aprĂšs. LĂ , le temps presse, nous ne pouvons pas nous permettre de rester ici des plan. Elles se mirent alors ensemble au travail et cela sembla marcher, elles continuĂšrent sur cette lancĂ©e, quelques minutes plus tard, le mur cĂ©da. ArrĂȘtant les formules, Kyara essuya la sueur qui perlait lĂ©gĂšrement avant de s'approcher lentement en tendant la main. Ses doigts ne rencontrĂšrent rien d'autre que du vide. Un grand sourire sur les lĂšvres, elle se tourna vers Alhena avant que son regard ne se pose plus loin. Non loin d'un mur se trouvait ce qui semblait ĂȘtre une Ă©lĂšve au les soucils, la Fourchelang la pointa alors du doigts Ă l'intention de sa collĂšgue avant de prendre la Je vais continuer, je te laisse te charger d'elle ! On a fait du bon travail !Adressant un dernier sourire Ă la sorciĂšre, Kyara pivota pour continuer sa route, dĂ©terminĂ©e, prĂȘte Ă en dĂ©coudre ou se reprendre un mur en pleine tronche. Au choix. Re ChĂąteau non-coopĂ©ratifContenu sponsorisĂ©, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum
Il nous arrive Ă tous de nous sentir seuls Ă un moment ou Ă un autre. Pour certains, la solitude est mĂȘme devenue un style de vie et leur compagnon le plus fidĂšle. Mais la bonne nouvelle est que le sentiment de solitude nâest pas une fatalitĂ© en soi; on peut le surmonter ! Jamais tout seul. De nos jours, la solitude fait partie des maux les plus courants que le monde puisse connaĂźtre. Câest une sensation dâisolement parfois choisie et dâautres fois subie. Elle est gĂ©nĂ©ralement difficile Ă accepter et pĂ©nible Ă vivre. Mais quoi quâil en soit, ceux qui ont JĂ©sus dans leur camp trouvent toujours du rĂ©confort sortant de Sa bouche, dans Sa Parole. Quâest-ce que la Parole de Dieu nous dit Ă propos de la solitude ? En tant quâenfants de Dieu, pouvons-nous connaĂźtre ce sentiment ? Devons-nous vivre avec ? Jâaime particuliĂšrement ce passage rassurant de la Bible qui dit dans EsaĂŻe 43 1-2 LSG âŠNe crains rien, car Je te rachĂšte, Je tâappelle par ton nom tu es Ă Moi! Si tu traverses les eaux, Je serai avec toi, et les fleuves, ils ne te submergeront point; si tu marches dans le feu, tu ne te brĂ»leras pas, et la flamme ne tâembrasera pas. » Oh oui ! Câest rassurant de savoir que Dieu est toujours Ă nos cĂŽtĂ©s, peu importe la saison, mĂȘme si trĂšs souvent les Ă©preuves de la vie veulent nous faire croire tout le contraire. JosuĂ© 1 5-6 LSG ⊠comme Jâai Ă©tĂ© avec MoĂŻse; Je ne te dĂ©laisserai point, Je tâabandonnerai point. Fortifie-toi et prends courage⊠» EsaĂŻe 41 10 LSG Ne crains rien car Je suis avec toi; ne promĂšne pas des regards inquiets; car Je suis ton Dieu; Je te fortifie, Je viens Ă ton secours, Je te soutiens de Ma droite triomphante. » As-tu dĂ©jĂ vu un bon mari laisser son Ă©pouse toute seule face aux circonstances de la vie ? Ne sommes-nous pas Son Eglise, lâĂ©pouse de JĂ©sus-Christ ? Comment pouvons-nous penser quâIl puisse nous laisser ? Lui, le plus fidĂšle de tous les maris ! OĂč que nous soyons, quoi que nous fassions, Il sera toujours Ă nos cĂŽtĂ©s, dans les bons et les mauvais moments. Dans la santĂ© comme dans la maladie. Au milieu des tempĂȘtes de la vie, Il ne nous laissera pas tomber. Câest vrai que par moments, nous pouvons nous sentir seuls, et câest normal, câest humain. Mais nous devons arrĂȘter de nourrir ce sentiment aujourdâhui. Peu importe la situation que nous traversons, mĂȘme si nous avons lâimpression que les ocĂ©ans se dĂ©chaĂźnent contre nous, nous ne devons jamais oublier la promesse de Dieu nous disant quâIl sera toujours Ă nos cĂŽtĂ©s, car câest la vĂ©ritĂ©. MĂȘme si nous ne le sentons pas toujours, Il est lĂ . MĂȘme si JĂ©sus-Christ ne se manifeste pas encore dans notre situation, nous devons croire quâIl est lĂ , nous ne sommes pas seules ! Nous avons une famille en Christ. 1 Corinthiens 1236 LSG Et si un membre souffre, tous les membres souffrent avec lui; si un membre est honorĂ©, tous les membres se rĂ©jouissent avec lui. » Ici il ne sâagit pas de la famille biologique mais plutĂŽt de la famille que nous avons choisie dĂšs le jour notre conversion. Câest la famille que Christ a choisie pour nous dĂšs le dĂ©part. Dans cette famille, bien quâil y ait toujours des hauts et des bas, bien que nous ayons peut-ĂȘtre des nationalitĂ©s diffĂ©rentes, des comportements diffĂ©rents, nous savons tous quâelle est bien rĂ©elle, quâelle existe. Et puisque nous sommes une famille, puisque nous ne sommes quâun en JĂ©sus-Christ, nous avons la mĂȘme mission prĂȘcher la bonne nouvelle de lâĂ©vangile. La mĂȘme espĂ©rance le retour de JĂ©sus-Christ ! En attendant Son retour, nous devons ĂȘtre lĂ les uns pour les autres, Ă tout moment. Nous ne devons pas laisser lâautre dans la solitude. Nous devons prouver Ă lâautre quâil a une famille, et normalement en famille, nous sommes lĂ pour nous soutenir, pour nous tenir la main. Pour conclure, nous les chrĂ©tiens nous ne pouvons pas vivre continuellement dans la solitude car JĂ©sus-Christ nous a fait la promesse dâĂȘtre avec nous tous les jours, jusquâĂ la fin du monde. Et il y a aussi cette famille que Dieu nous a donnĂ©e qui est toujours lĂ , mĂȘme si cela nâen a pas toujours lâair.
Je ne suis qu'une goutte dans l'ocĂ©an, une goutte de plus parmi vous Une goutte de pluie ou une larme de plus sur les joues De notre planĂšte Terre, MĂšre pardonne nous L'Homme a créé ce tourbillon, qui nous a tous rendu fous Folie gĂ©nĂ©rale, mĂȘme les climats ne tiennent plus le coup Nos vie ternissent par notre faute, on en a mĂȘme perdu le goĂ»t J'ai peur du coup, pourtant j'ai bien vu la Lueur du gouffre Du moins je l'ai aperçue, en Ă©clairant un peu mon coeur du fouilli Que le Soleil, la Lune, les Arbres, les Mers nous pardonnent Toutes les espĂšces vivantes que la mienne a exterminĂ©es... J'demande pardon, parce que tout le mal qu'on a créé Faudra de la force pour le rĂ©parer et j'ai du mal a voir que ce monde est prĂȘt L'immonde est prĂšs de nous mais j 'ai peut-ĂȘtre une goutte qui dĂ©range... Une goutte noyĂ©e, dans un ocĂ©an qui se dĂ©chaĂźne Et tente de nous broyer, voyez, on a pourtant pas de haine dans les gĂȘnes Tant pis, on part de lĂ , mais on peut aller loin L'enfant en chacun le sait mĂȘme si on fait comme si tout allait bien Que la rage demeure, fait naĂźtre tant de violence dans nos coeurs Trop de conflits en pagaille, aux ondes qui s'installent dans nos peurs Venez pas, faire un tour dans nos esprits en bordel! MĂ©lancolie, une goutte de plus et le poison devient mortel Simple reflet d'un monde particuliĂšrement en bordel Juste une goutte de plus pour que dĂ©borde le vase ou l'cocktail Car il suffit d'une goutte de plus parfois pour que tout change Rééquilibrer, faire basculer, pas besoin de beaucoup de chance Juste du goutte Ă goutte, avant que le sablier ne se vide Limpidement le temps s'Ă©coule, et la raison ordonne de fuir vite... Le coeur dit de se battre et mĂȘme si c'est trop tard Dignement allons-y pour le geste, et pour que nos idĂ©aux partent Rejoindre le Ciel, qu'on en reçoive les pluies Juste une goutte pour chacun, une goutte qui suffirait Ă remplir chaque coeur MĂȘme si le temps est gris tristesse, On aperçoit la LumiĂšre au loin, libĂ©ratrice, mĂ©langeant calme et ivresse Qui goutte Ă goutte nourrit lorsqu'on s'en approche Loin de cette maudite flaque, reflet d'une Ă©poque atroce Une LumiĂšre qui semble ĂȘtre la source Qui se dĂ©verse dans les coeurs pleins d'espoire et qui fait fondre la frousse Que la Vie nous donne le courage de ne plus se voiler la face, une goutte de plus, de compassion, Juste une goutte qui soulage... J'ne suis qu'une goutte de plus noyĂ©e dans l'ocĂ©an qui sait Qu'Ă nous tous, on pourrait faire plein de vagues et tout Ă©clabousser PoussĂ©e par un Vent de Sagesse, Ă©manant du Ciel Un peu plus de Foi, la mienne, elle m'a rendu sienne Que chaque maillon se ressoude et reconstitue la chaĂźne Et si ce monde veut notre peau, gardons l'Esprit et la Chair On y arrivera, mĂȘme si ici le Mal est bien portant Parce qu'on est tous une goutte de plus Et que chaque goutte est importante.... Paroles2Chansons dispose dâun accord de licence de paroles de chansons avec la SociĂ©tĂ© des Editeurs et Auteurs de Musique SEAM
1. O L'A BUFFE [Chorus] Ă l'a buffĂ©, crois tu qu'ĂŽ l'a buffĂ©, Toutes les cornes des cocus sont tombĂ©es ! Ă l'a tout arrachĂ©, ĂŽ l'a tout Ă©bouillĂ©, Partout les peupliers sont tombĂ©s par milliers, La mĂ©tĂ©o disait " vent faible Ă modĂ©rĂ© ", J'ai r'trouvĂ© mon goret Ă l'aut' bout de l'Ăźle de RĂ© Puis ĂŽ d'vait arriver, le courant a coupĂ©, Et j'avions plus d'chauffage, plus d'Ă©lectricitĂ©, O faut courir partout aprĂšs des bouts de chandelles, Mais oĂč sont les bougies, l'frigo qui dĂ©congĂšle Et ch'au congĂ©lateur qu'Ă©tait plein Ă craquer, Je venions justement de tuer tous les canets, Va falloir tout manger, ĂŽ va ĂȘtre gavaniĂ©, Faut faire cuire les rĂŽtis et les tomates farcies ! Et puis au bout d'trois jours, ca y est c'est la panique, Pour une baguette de pain, ĂŽ s'bat dans les boutiques, Ă l'est chacun pour soi, allons mourir de faim, Pouvons nous pas rester trois jours sans manger d'pain ! On avait tout prĂ©vu pour fĂȘter l'an 2000, Pis la tempĂȘte est venue, ca c'Ă©tait pas prĂ©vu, Va falloir replanter, mais faut pas s'inquiĂ©ter, Les cornes auront r'poussĂ©es avant les peupliers ! 2. IL FAUT VIVRE Pour l'enfant qui va naĂźtre sur les chemins brĂ»lants des diffĂ©rences Lui apprendre Ă connaĂźtre d'oĂč soufflera le vent de son existence [Chorus] OH ! il faut vivre Pour dire Ă ceux qu'on aime, qu'on les aimera toujours Ă la vie, Ă l'amour Les caresses suprĂȘmes aux parfums enivrants du petit jour Pour tous les sentiments qui viennent se rĂ©fugier au fond de notre cĆur L'amitiĂ©, la tendresse, qui ouvre bien souvent la porte du bonheur Pour avoir le courage de lutter contre ceux qui salissent demain Laisser en hĂ©ritage une terre verte et bleue aux enfants de demain Pour faire de sa vie, ce que l'on a envie suivant sa destinĂ©e Pour faire de sa vie, ce qu'on a dĂ©cidĂ© pour ne rien regretter Pour l'enfant qui va naĂźtre sur les chemins brĂ»lants des diffĂ©rences Lui apprendre Ă connaĂźtre d'oĂč soufflera le vent de son existence. 3. LES CONS Des cons, y'en a partout, on peut pas les compter, Oui mais comment savoir si on est concernĂ©, S'il y avait marquer con sur tous les fronts des cons, On les reconnaĂźtrait, on les contournerait, on les contournerait. Il y a les convertis, trop content d'ĂȘtre cons, Les inconditionnels de la connerie, Ils se sont reconnus, ils se sont concentrĂ©s, Et puis ils ont formĂ© la confrĂ©rie des cons, la confrĂ©rie des cons. Les cons se reproduisent et j'en suis consternĂ©, Car ils sont dĂ©jĂ cons bien avant d'ĂȘtre nĂ©s, Autant de conviction dans la reproduction, Ils ne seront jamais en voie de disparition, en voie de disparition. Y'a le concubinage, inventĂ© par un con, Pour donner des complexes et faire des conjoints, Pour faire du mariage, un conditionnement, Dans la sociĂ©tĂ© de consommation, de consommation. Cons de tous les pays, tenez vous donc la main, Partez Ă la conquĂȘte du royaume des cons, Vous n'aurez pas de mal Ă vous trouver un roi, Il y a tant de cons qui veulent ĂȘtre sacrĂ© con, qui veulent ĂȘtre sacrĂ© con. Puisqu'il y a tant de cons, il faut se consoler, Oubliez ma chanson, oubliez d'ĂȘtre cons, Car il est prĂ©fĂ©rable confidentiellement, De passer pour un con plutĂŽt que d'ĂȘtre con, plutĂŽt que d'ĂȘtre con. Je vais arrĂȘter lĂ ma complainte sur les cons, On pourrait porter plainte, y'a des cons qui le font, Mais s'ils se reconnaissent Ă travers ma chanson, C'est la plus belle façon de prouver qu'ils sont cons, De prouver qu'ils sont cons de prouver qu'ils sont cons. 4. BALLADE CELTIQUE Instrumental 5. LES VACHES MAIGRES Rappelle toi les vaches maigres, oĂč le vin avait goĂ»t de vinaigre, Le bois que tu allais faucher, pour pouvoir de rĂ©chauffer. Ouais c'est l'hiver qui dure trop longtemps, c'est quand il gĂšle dans la maison, Mais c'est le prix que j'ai payĂ© pour conserver ma libertĂ©. Rappelle toi les vaches maigres, alors que tu n'avais plus rien, Qu'une guitare Ă la main pour oublier les lendemains. A la recherche de mon talent, mais l'estomac dans les talons Et c'est le prix que j'ai payĂ© pour conserver ma libertĂ©. Je me rappelle les vaches maigres, l'petit sĂ©minaire de Poitiers, OĂč j'allais me rĂ©fugier, ne sachant plus trop oĂč aller. Il a fallu mentir un peu, pour ne pas inquiĂ©ter les vieux, Mais c'est le prix que j'ai payĂ© pour conserver ma libertĂ©. VoilĂ , comment çà c'est passĂ©, lorsque je n'avais pas un rond, Alors, toi qui me vois passer, avec mon petit ventre rond. Avant de me jeter la pierre, comme on fait souvent par derriĂšre, Avant de me prendre pour un con, elle est Ă toi, cette chanson. Aujourd'hui les vaches sont moins maigres, le vin n'a plus goĂ»t de vinaigre, Oui mais je n'ai rien oubliĂ©, de mes galĂšres du passĂ©. Et quand on est passĂ© par lĂ , on apprĂ©cie le peu qu'on a, C'est le prix qu'il fallait payer pour conserver ma libertĂ©, C'est le prix qu'il fallait payer pour conserver ma libertĂ©. 6. MADELEINE J'ai plus assez d'mes deux yeux pour compter les amoureux, Y'a plus qu'une fille dans ma ville, j'me suis t'nu trop tranquille, Je suis toujours Ă©tonnĂ© quand on a changĂ© d'annĂ©e, Car tous les printemps, faut qu'je foute le camp, Voir c'qui s'passe aux quatre coins de l'ocĂ©an. [Chorus] Oh Madeleine, c'est pas par hasard Si on est plus qu'tous les deux Ă vivre la mĂȘme histoire Oh Madeleine, faudrait p't'ĂȘtre se voir, J'ai plus grand chose Ă cacher dans le fond d'mes tiroirs. Quand tu m'as fait visiter, l'autre jour ta cambre Ă coucher, J'ai reconnu mes cartes postales, tu es sentimentale, Tu gardes mĂȘme pour dormir, le beau foulard en cachemire, Que j't'ai rapportĂ©, y'a pas mal d'annĂ©es, Je crois qu'c'est ça qui m'a fait craquer. Tu sais je suis fatiguĂ©, en allant si loin chercher, En m'disant c'est cette annĂ©e que j'vais la rencontrer, Quand je pense que tu Ă©tais lĂ , juste Ă deux pas de chez moi, Que le diable m'emporte, ce soir Ă ta porte, J'vais mettre un terme Ă tes annĂ©es mortes. A m'attendre si longtemps, t'en as eu des prĂ©tendants, Toutes leurs fleurs sont fanĂ©es, ils s'en sont retournĂ©s, Moi j'arrive les mains vides, seulement avec quelques rides, Tu n'm'en voudras pas, j'vais rattraper çà , C'est moi qui vais faire le premier pas. 7. BAL DE LA LUNE Quand le soleil descend et que la lune monte, Surtout quand elle est jaune, jaune et toute ronde, Qu'elle inonde la terre, d'une lumiĂšre blonde, Les gens qui la regardent, ils vont devenir fous. [Chorus] J'ai regardĂ© la lune, je suis devenu fou, J'vais danser sous la lune avec les loups J'ai regardĂ© la lune, la la la la la la , Et dansĂ© sous la lune avec les loups⊠Les chiens cassent leurs chaĂźnes et les hommes se dĂ©chaĂźnent, Ils vont chercher les filles pour danser sous la lune, Et voient dans leurs vertus, elles seront toutes nues, Et ils feront l'amour sans aucune retenue. De ses rayons magiques qui traversent les murs, Elle empĂȘche de dormir ceux qui ne veulent pas sortir, Du haut de leurs fenĂȘtres, ils regardent Ă©blouis, Les bĂȘtes et les gens dans le bal de la nuit. Je regarde la lune, je la regarde en face, Et il me semble voir un visage, un sourire, On dirait qu'elle s'amuse Ă semer le dĂ©lire, Je veux ĂȘtre complice et boire Ă son calice. Et lorsqu'elle s'enfuira Ă l'approche de l'aube, Pour aller faire danser l'autre moitiĂ© du monde, Je serais encore lĂ et mon Ăąme vagabonde, Attendra son retour je compterais les jours. J'irai revoir la lune et puis devenir fou, Et danser sous la lune avec les loups, J'irai revoir la lune, la la la la la la, Et danser sous la lune avec les loups. 8. CORDOUAN C'est un vieux solitaire au large de l'estuaire, Il a les pieds dans l'eau depuis quatre cents ans, Tous les soirs, sa lueur fait de l'Ćil Ă Royan, C'est un vieux sĂ©ducteur le phare du Cordouan. C'est un vieux sĂ©ducteur le phare du Cordouan. Sur les quais de Bordeaux, les barriques sont pleines, Le brouillard se lĂšve, elles partiront quand mĂȘme, Car le vieux phare est lĂ qui veille et qui s'allume, Et qui pousse la plainte de sa corne de brume. Et qui pousse la plainte de sa corne de brume. Debout sur son rocher, on dirait un berger, Veillant sur son troupeau, son troupeau de bateaux, Il a vu dĂ©filer les pirates assoiffĂ©s, Les derniers gabariers venant de l'Ăźle de RĂ©. Les derniers gabariers venant de l'Ăźle de RĂ©. Il a vu ce bateau rentrant du Portugal, Venir se rĂ©fugier sur la pointe de grave, Jeter par dessus bord ces huĂźtres qu'ils croyaient mortes Et l'on en mange encore sur tout le littoral. Et l'on en mange encore sur tout le littoral. Et s'il a rĂ©sistĂ© aux injures du temps, S'il brave les tempĂȘtes depuis si longtemps, Les grosses dĂ©ferlantes, les rafales de vent, C'est parce que les ancĂȘtres l'ont reconstruit souvent. C'est parce que les ancĂȘtres l'ont reconstruit souvent. Il a sauvĂ© la vie de ces marins perdus, Revenant de Terre-Neuve de pĂȘcher la morue, Toi le plus vieux des phares gardien de la Gironde, Que ta lumiĂšre inonde tous les bateaux du monde. Que ta lumiĂšre inonde tous les bateaux du monde. C'est un vieux solitaire au large de l'estuaire, Il a les pieds dans l'eau depuis quatre cents ans, Tous les soirs, sa lueur fait de l'Ćil Ă Royan, C'est un vieux sĂ©ducteur le phare du Cordouan. C'est un vieux sĂ©ducteur le phare du Cordouan. 9. SIRENE D'AMOUR Il a trouvĂ© sirĂšne un soir dans un port, Blonde Ă©tait sa carĂšne, elle l'a prise Ă son bord, Il est allĂ© croiser au large de son corps, Pour couvrir de baisers sa peau et son dĂ©cor D'amour, oh d'amour⊠Puis ils ont titubĂ©, dansant dans les coursives, Sans doute un peu grisĂ©s et sĂ»rement un peu ivres, Puis ils ont chavirĂ© dans le lit de l'ivresse, Et ils ont naviguĂ© par le flot des caresses D'amour, oh d'amour⊠Puis ils ont mis le cap sur l'Ăźle du plaisir, PoussĂ©s par le ressac sous le vent du dĂ©sir, Il a offert ses bras comme gilet de sauvetage, Elle a ouvert ses bras et puis bien davantage D'amour, oh d'amour⊠Quand ils se sont Ă©chouĂ©s Ă la fin de la nuit , Tellement Ă©puisĂ©s qu'ils se sont endormis, Sur le gaillard d'avant, l'aube les a surpris, Sur le pont des amants, sous les voiles du lit, D'amour, oh d'amour⊠A la saison prochaine, il veut se rembarquer, Pour pĂȘcher des je t'aime dans ses cheveux dĂ©faits, La mer sera belle et ils iront encore, Croiser fiers et rebelles au large de leurs corps D'amour, oh d'amour⊠D'amour, oh d'amour⊠10. LES BINUCHARDS Bonjour et bonsoir, v'lĂ Les Binuchards, JC la guitare, François et Richard, Si tu viens nous voir, si t'es un fĂȘtard, Bonjour et bonsoir v'la Les Binuchards. Bonjour et bonsoir v'la Les Binuchards. Des chansons Ă boire, d'autres qui se dansent, Je raconte des histoires d'temps en temps quand j'y pense, Tous les samedi soirs on va s'Ă©mouvoir, Bonjour et bonsoir v'la Les Binuchards. Bonjour et bonsoir v'la Les Binuchards. La foire au pineau, la foire au goret, La foire aux cagouilles, enfin tout pour la goule, De la pomme de terre, la foire aux cĂ©libataires, Bonjour et bonsoir v'la Les Binuchards. Bonjour et bonsoir v'la Les Binuchards. On est pas trop cher on prend 900 Frs, Oui mais attention on aime la bonne chĂšre, Il faudra prĂ©voir une caisse de pinard, Bonjour et bonsoir v'la Les Binuchards. Bonjour et bonsoir v'la Les Binuchards. On a un copain qui tient une auberge, Un accordĂ©on et puis la bouteille, Quand on va tuer le ver au bateau Lavoir, Bonjour et bonsoir v'la Les Binuchards. Bonjour et bonsoir v'la Les Binuchards. " Le Bateau Lavoir Ă Landrais, Ouvert le samedi et le dimanche " Pour vous faire plaisir, on a fait un disque, Ca fait un souvenir, on en a fait que dix, Mais les meilleures chansons de notre rĂ©pertoire, Bonjour et bonsoir v'la Les Binuchards. Mais les meilleures chansons de notre rĂ©pertoire, Bonjour et bonsoir v'la Les Binuchards. 11. LA VIE D'ARTISTE J'avais fait une petite chanson mijotĂ©e aux petits oignons, Une chanson de derriĂšre les fagots, les fagots de l'inspiration, Et lorsque je l'ai prĂ©sentĂ© au producteur intĂ©ressĂ©, Il m'a dit on va l'arranger deux ou trois trucs Ă rajouter, Oh c'est dur la vie d'artiste dans la figuration ! Mais avant de signer l'contrat pour devenir chanteur populaire, J'ai dit j'voudrais Ă©couter çà pour voir un peu d'quoi çà a l'air, J'ai pris une claque phĂ©nomĂ©nale, ils avaient tout traficoter, Pour faire une chanson commerciale et aussi plein de fric Ă cĂŽtĂ©, Oh c'est dur la vie d'artiste dans la figuration ! Alors j'ai repris ma chanson et puis j'ai repris le mĂ©tro, Des mecs chantaient dans la station qu'auraient signĂ©s les yeux fermĂ©s, Je passerais pas Ă la radio, je passerais pas Ă la tĂ©lĂ©, Je passerais pas pour un idiot, j'ai conservĂ© ma dignitĂ©, Oh c'est dur la vie d'artiste dans la figuration ! Je suis rentrĂ© Ă la maison pour faire ma propre production, Aux pirates de la chanson, maintenant je fais trĂšs attention, Et derriĂšre mon tas de fagots, j'ai un joli, joli magot, C'est bon la vie d'artiste dans l'auto-production Ouais c'est bon la vie d'artiste dans l'auto-production ! 12. BERNARD L'OURS Instrumental
Genin Nicolas/ABACAC'est un acte d'une cruautĂ© intense qui bouleverse la Toile depuis quelques heures. Deux individus ont Ă©tĂ© filmĂ©s en train de torturer un requin Ă pointe noire. Un comportement rĂ©pugnant pour Anthony Delon qui dĂ©nonce cette maltraitance...Depuis hier, des images dâune extrĂȘme cruautĂ© circulent sur la Toile. Deux individus ĂągĂ©s dâune vingtaine dâannĂ©es ont Ă©tĂ© filmĂ©s en train de torturer un requin sur une plage. Un comportement condamnĂ© par de nombreuses cĂ©lĂ©britĂ©s. Vincent Cerutti, Laeticia Hallyday, Anthony Delon. Les personnalitĂ©s se mobilisent afin de dĂ©noncer cette maltraitance animale. Sur son compte Instagram, le fils dâAlain Delon a mis en ligne la vidĂ©o choc. En lĂ©gende Regardez-moi ces deux enc**** Partagez s'il vous plaĂźt ! ProtĂ©ger les requins est une prioritĂ© ! Celui-ci est un requin Ă pointe noire, inoffensif pour lâhomme et sur la liste rouge des espĂšces protĂ©gĂ©es. » Câest si cruel »BouleversĂ©s par cet acte sadique, les internautes ont rĂ©agi. JâespĂšre quâils seront reconnus grĂące aux rĂ©seaux et punis comme il se doit ! », RĂ©voltant ! Comment faire Ă©voluer les mentalitĂ©s tant quâil y aura sur terre ce genre de demeurĂ©s », Câest vraiment difficile Ă regarder, câest si cruel ! », pouvait-on lire sous la publication. Le pire de lâhumanitĂ© est pleinement exposĂ© ici, mais câest le monde dans lequel nous vivons et nous DEVONS le changer avant quâil ne soit trop tard ! Câest navrant de voir quâil y a des gens qui prennent plaisir Ă regarder une autre crĂ©ature vivante souffrir et mourir, mais câĂ©tait un requin Ă pointe noire donc techniquement ce meurtre est lĂ©gal », a malheureusement prĂ©cisĂ© le compte Instagram Karmagawa. Par la suite, lâorganisation caritative a Ă©galement ajoutĂ© Câest aussi de la folie absolue, car nous tuons plus de 70 millions de requins par an dans le monde, donc notre population mondiale de requins nâa aucune chance si cela continue⊠La plupart des gens ne rĂ©alisent pas que des ocĂ©ans en bonne santĂ© exigent une population de requins en bonne santĂ©. Donc, si les requins continuent dâĂȘtre tuĂ©s au rythme actuel absolument insensĂ©, nos ocĂ©ans mourront Ă©galement. » Un bien triste voir Ă©galement Ă lire aussi Alain Delon encore faible physiquement ? Anouchka Delon partage une rare photo qui Ă©meut les internautes "Aujourd'hui, c'est fini" Anthony Delon fait une tragique annonce sur Instagram, le clan Delon en deuil En vidĂ©oSur le mĂȘme thĂšme Ces stars dont on parle En voir plus
meme si les oceans se dechaine paroles