Jete conseil le sud de la Bretagne. Ma ville prĂ©fĂ©rĂ© c'est Quimper. Elle est un peu dans les terres et en mĂŞme temps Ă 20 km de la mer au nord, au sud, Ă
2907/2022 Carrere présent au salon Patrimonia 2022; 12/07/2022 Vivre ou investir à Villefontaine, aux portes de Lyon; 28/06/2022 Couleur Lavande : pour vivre ou investir à Arles ; 21/06/2022 Nouvel'Aire : Pour vivre ou investir
Seulesexceptions : fauteuils roulants, poussettes d'enfant, transport de planche à voile ou d'embarcation légère telle que kayak de mer. Les propriétaires riverains ne doivent rien faire qui puisse gêner la libre circulation
Étatactuel du projet : Livré Livraison : 4ème trimestre 2021 Quartier. Région : Algarve Commune : Faro Municipalité : Faro Style de vie : En bord de mer Faro est la capitale de la région de l'Algarve et la municipalité du même nom, avec une population d'environ 60 000 habitants répartis sur 210 km2, dont 30% se trouvent dans la réserve naturelle de Ria Formosa.
Depuisquelques années déjà , les villes de la Côte Atlantique tiennent des places importantes dans la liste des endroits en bordure de mer où il fait bon vivre. Les endroits les plus recommandés dans cette région où l’on peut s’installer sont les villes de Bayonne, d’Anglet et l’incontournable Biarritz. Situées entre les
Niumv6T. Investir dans un logement meublĂ© pour dĂ©fiscaliser, c’est bien. Mais encore faut-il pouvoir le revendre le moment venu. Les intermĂ©diaires Ă contacter. Plusieurs milliers d’appartements sont ache-tĂ©s tous les ans dans le cadre de rĂ©siden-ces de tourisme ou d’affaires, de rĂ©sidences pour Ă©tudiants ou seniors, ou d’Ehpad. Quel-ques centaines seulement sont revendues chaque annĂ©e, alors que la demande est importante pour des biens de seconde main. Ce marchĂ© de l’occasion commence seulement Ă prendre ses marques Et pour cause, ces logements ne sont pas des biens immobiliers comme les autres. Le marchĂ© secondaire s’organise Il y a quelques annĂ©es, revendre un appartement achetĂ© dans une rĂ©sidence Ă la montagne Ă©tait un vĂ©ritable casse-tĂŞte pour les particuliers. Depuis, les choses se sont un peu amĂ©liorĂ©es et, comme pour le marchĂ© des SCPI, placement longtemps handicapĂ© par son manque de liquiditĂ©, celui des rĂ©sidences services s’est organisĂ© pour faciliter la revente. MĂŞme si beaucoup de spĂ©cialistes prĂ©sentent ce placement comme une Ă©par-gne immobilière de long terme, un produit de placement qui assure une rente viagère , nombre de propriĂ©taires souhaitent s’en sĂ©parer pour passer Ă autre chose ou se trouvent dans l’obligation de le faire. La principale cause de vente est le divorce, puis les accidents de la vie et le dĂ©cès , explique Benjamin Nicaise, prĂ©sident de Cereni-cimo et fondateur d’une plate-forme de revente LB2S. DĂ©sormais, la plupart des acteurs du marchĂ© des rĂ©sidences avec services disposent de leur structure de revente. C’est le cas de Domitys, de Pierre & Vacances et de BNP Paribas Real Estate qui, bien sĂ»r, se chargent de revendre leurs produits. Il existe aussi des sociĂ©tĂ©s comme CereniÂcimo, CĂ©rès Conseil ou Le Revenu Pierre qui ne sont pas monomarque, mais sont très sĂ©lectifs. Les biens qu’ils choisissent de vendre doivent remplir un certain nombre d’exigences comme la bonne qualitĂ© de la gestion, la rĂ©gularitĂ© de versement des loyers… Il nous arrive de refuser un appartement quand on estime que le gestionnaire est malhonnĂŞte ou en trop grande difficulté», explique Benjamin Nicaise, de Cerenicimo. Marie-Laure Raymond, qui a créé CĂ©rès Conseil en 2005, une plateforme spĂ©cialisĂ©e, confirme que “tous les biens ne sont pas revendables”. Cette dernière, pour ne pas fermer la porte aux propriĂ©taires qui rencontrent des difficultĂ©s de gestion, a Ă©galement mis en place une seconde structure, Pour ces appartements, nous annonçons clairement la couleur, les difficultĂ©s de gestion principalement, et il y a en consĂ©quence une plus forte dĂ©cote.» Vous pouvez Ă©galement vous dĂ©brouiller seul, mais recourir Ă ces professionnels n’est pas une mauvaise chose, car ils vont pouvoir Ă©plucher votre bail et en ressortir les points nĂ©gatifs et positifs qui auront une incidence sur le prix. Ils s’occuperont de tout mise en place des annonces, estimation, Ă©tude du bail, demande des diagnostics, certificat de conformitĂ©, mĂ©trage Carrez, du règlement de copropriĂ©tĂ©, etc. Ils Ă©tudieront aussi les relevĂ©s de charges, le bilan du gestionnaire... Tous ces documents doivent ĂŞtre fournis par le gestionnaire, mais il peut se montrer rĂ©ticent Ă les transmettre. Si on refuse de me les fournir, je classe les appartements dans la catĂ©gorie Ă risques, car ce manque de communication crĂ©e un doute», explique Marie-Laure Raymond. Leurs services sont facturĂ©s entre 4 et 10% environ du prix de vente. Ces frais s’ajoutent aux frais lĂ©gaux de notaire. Le loyer annuel dĂ©termine le prix Un appartement dans une rĂ©sidence Ă©tudiante, dans une rĂ©sidence seniors ou autres n’est pas un bien immobilier comme les autres. Le loyer est le premier critère pour l’évaluation du bien. Si on se base sur une rentabilitĂ© de 3,5 % par an et des loyers annuels de 6 000 euros, le prix de vente s’établira Ă environ euÂros. La valeur se fait en grande partie sur le rendement locatif pondĂ©rĂ© par la qualitĂ© du gestionnaire de la rĂ©sidence, la rĂ©partition des charges, la durĂ©e du bail restant Ă courir, et enfin par le prix au mètre carrĂ©. La qualitĂ© du bien et sa situation ne sont pas prĂ©pondĂ©rantes, mais elles permettent d’envisager l’avenir plus sereinement. Il faut ĂŞtre attentif Ă la rentabilitĂ© demandĂ©e et pratiquĂ©e sur le marchĂ© pour assurer une vente et comprendre oĂą se situe la demande pour apprĂ©cier la rentabilitĂ© future», explique Julien Rabier, de l’Institut du patrimoine. L’objectif de ces placements immobiliers est de procurer des revenus complĂ©mentaires, mais pas de procurer un gain en capital. Au bout du compte, il ne faut pas s’attendre Ă une plus-value extraordinaire. L’inverse est plus courant, soit une dĂ©cote de 10 Ă 30 % sur le prix d’achat. La durĂ©e du bail pèse dans la balance Outre les pĂ©riodes de l’annĂ©e plus ou moins propices Ă la vente de biens immobiliers en bord de mer ou Ă la montagne, il y a un autre calendrier Ă surveiller, c’est celui de votre bail. Soyez attentif Ă la durĂ©e du bail qui reste Ă courir. Plus le terme du contrat approche, plus l’incertitude sur sa reconduction plane sur la gestion et plus le risque est manifeste pour le repreneur. Cette contingence va bien sĂ»r peser sur le prix demandĂ©. Il est donc conseillĂ© de vendre, si vous avez le choix, Ă la moitiĂ© du bail ou alors d’attendre son renouvellement. En principe, le gestionnaire doit vous avertir, au moins six mois avant la fin du contrat, de sa dĂ©cision de continuer ou non. Mais il n’est pas obligĂ© de communiquer les conditions de la reprise du bail. Il peut très bien Âdemander une baisse des loyers», affirme la dirigeante de CĂ©rès Conseil. Il vaut mieux que le vendeur attende le renouvellement du bail qui apportera plus de visibilitĂ© aux futurs acquĂ©reurs. Si le bail, qui relève du droit commercial, est si embarrassant, vous vous posez peut-ĂŞtre la question de le dĂ©noncer, pour revenir Ă un bail de droit civil, moins contraignant. C’est tout Ă fait possible, mais sachez que le gestionnaire vous demandera des indemnitĂ©s d’éviction qui peuvent reprĂ©senter deux Ă trois annĂ©es de loyers. En effet, cette indemnitĂ© n’est pas encadrĂ©e. VĂ©rifiez alors son mode de calcul dans votre contrat de bail et dans votre contrat de vente. Avec ou sans TVA La cession n’est pas sans effets fiscaux pour le vendeur selon qu’il aura choisi le rĂ©gime de loueur en meublĂ© non professionnel LMNP ou du Censi-Bouvard, selon qu’il aura achetĂ© avec ou sans TVA. Si l’on opte pour la rĂ©duction d’impĂ´t du Censi-Bouvard, on s’engage Ă louer le bien pendant neuf ans, et en cas de vente avant ce terme, il faut rembourser l’avantage fiscal dont on a bĂ©nĂ©ficiĂ©. Si on choisit celui du LMNP, la vente n’aura aucune consĂ©quence pour le cĂ©dant. Autre point Ă surveiller, le remboursement ou non de la TVA. Lors de l’achat, on vous a proposĂ© le remboursement de la TVA sur le prix d’acquisition contre votre engagement de conserver le bien durant vingt ans. Il est toujours possible de revenir sur cet engagement, mais vous devrez rembourser la TVA au prorata des annĂ©es restantes, Ă moins que l’acheteur reprenne le bail et continue de le louer. Autre cas de figure si le promoteur s’est engagĂ© Ă rĂ©gler la TVA, dans ce cas, il n’y a aucune incidence lors de la vente ni pour vous ni pour l’acheteur. Les appartements sont vendus en l’état Avant de vendre, vous voudrez peut-ĂŞtre rafraĂ®chir les peintures ou changer le mobilier usagĂ© pour que votre appartement se prĂ©sente sous son meilleur jour. N’en faites rien ! Votre appartement est gĂ©rĂ© par un tiers qui est chargĂ© de ces questions. Vous ne pouvez rien y faire, votre appartement sera vendu en l’état, ce qui aura Ă©videmment une incidence sur le prix. Le gestionnaire se charge de l’état des lieux et il peut Ă©ventuellement planifier des travaux, dont il faudra tenir compte dans le prix», explique Gilles HautÂrive, directeur gĂ©nĂ©ral dĂ©lĂ©guĂ© de BNP Paribas Immobilier RĂ©sidentiel Transaction Neuf. Pour les gros travaux, renseignez-vous sur le calendrier de rĂ©alisation afin de prĂ©ciser Ă qui ils incombent et tenez-en compte dans l’évaluation. En conclusion, vendre un bien en rĂ©sidence services est plus facile qu’il y a quelques annĂ©es, mais reste difficile. Choisir le bon intermĂ©diaire est l’une des clĂ©s du succès. Les 4 types d’investissement proposĂ©s par les spĂ©cialistes de la dĂ©fiscalisation 1 RĂ©sidences de tourisme En ville, au bord de la mer ou Ă la montagne, les rĂ©sidences de tourisme avec piscine, sauna, salle de restaurant, etc. sĂ©duisent, car on peut combiner sĂ©jour personnel et location dans un lieu convivial. Combien ça coĂ»te ? De Ă euros pour un logement. Combien ça rapporte ? De 3 Ă 5 %. âžś Les avantages. La large gamme de logements est proposĂ©e, du simple studio au grand appartement haut de gamme et services de mĂŞme qualitĂ©. Un logement bien situĂ© dans une station dynamique Ă©tĂ© comme hiver peut ĂŞtre rempli une bonne partie des vacances scolaires, mais rarement toute l’annĂ©e. âžś Les inconvĂ©nients. Le poids des charges et des installations, la complexitĂ© de certains baux commerciaux, la rotation des gestionnaires dans certaines rĂ©sidences. 2 RĂ©sidences Ă©tudiantes Les rĂ©sidences pour Ă©tudiants fleurissent dans les villes grandes et moyennes, ce qui pourra rendre la revente Ă terme plus difficile. Attention Ă la localisation. Combien ça coĂ»te ? De Ă euros pour un logement. Combien ça rapporte ? De 4 Ă 5,5%. âžś Les avantages. La demande est forte pour les studios tout Ă©quipĂ©s. Le taux de remplissage est constant quand les logements sont bien placĂ©s Ă proximitĂ© des pĂ´les d’études et de recherche et des centres-ville. âžś Les inconvĂ©nients. La rotation des locataires, surtout si les loyers sont Ă©levĂ©s. D’oĂą une usure plus rapide du mobilier et des Ă©quipements. Attention Ă©galement aux charges d’entretien des parties communes dont vous dĂ©tenez une cote-part. 3 RĂ©sidences seniors Dans ces rĂ©sidences, sont proposĂ©s de petits appartements indĂ©pendants dans un environnement sĂ©curisĂ©, oĂą des services et des activitĂ©s sont proposĂ©s aux occupants locataires. Combien ça coĂ»te ? De Ă euros pour un appartement. Combien ça rapporte ? De 3,5 Ă 4,5%. âžś Les avantages. Les occupants ne changent pas toutes les semaines ni tous les ans, et, en principe, ils prennent soin de leur environnement. Si la rĂ©sidence est proche des commerces, des transports, des services mĂ©dicaux, etc., les locataires resteront. âžś Les inconvĂ©nients. VĂ©rifiez le coĂ»t des charges de certains Ă©quipements qui ne sont pas toujours utiles comme la piscine ou la salle de cinĂ©ma. 4 Ehpad Les rĂ©sidences mĂ©dicalisĂ©es performantes sont dotĂ©es d’équipements mĂ©dicaux, de salles d’opĂ©ration, de personnel spĂ©cialisĂ©. Les occupants disposent d’une chambre Ă©quipĂ©e et de mobilier adaptĂ©. Combien ça coĂ»te ? De Ă euros. Combien ça rapporte ? De 4 Ă 5%. âžś Les avantages. La demande de logements mĂ©dicalisĂ©s ne cesse de croĂ®tre. âžś Les inconvĂ©nients ? Les coĂ»ts des services, de l’entretien, de remplacement du matĂ©riel et du mobilier mĂ©dicalisĂ©. Les Ă©tablissements signent tous les cinq ans une convention avec l’agence rĂ©gionale de santĂ© et le conseil gĂ©nĂ©ral, mais elle n’est pas obligatoirement reconduite.
Nouveau mon livre "Changer de vie comment j'ai décidé de tout plaquer pour découvrir le monde" vient de sortir aux Editions Larousse. Découvrez-le ici. Vous cherchez une plage à Zagreb ou dans ses environs ? Alors lisez ce guide je vous partage mes conseils pour trouver la plage de vos rêves pas trop loin de Zagreb ! Au sommaire de cet article1 La seule plage de Zagreb celle de > Les autres plages près de Zagreb où les baignades ne sont pas possibles2 Quelles sont les vraies plages près de > Les plages d’ > La plage de Žurkovo, près de > Les plages de l’île de > Les plages de > La plage de Crikvenica3 A savoir sur les plages proches de Zagreb que je viens de > Les affaires à emmener sur les plages > Louer des chaises longues en Croatie4 Résumé des plages de Zagreb et des Ces articles vont aussi t'intéresser La seule plage de Zagreb celle de Jarun Rentrons immédiatement dans le vif du sujet il n’y a pas la mer à Zagreb. La capitale croate se trouve dans les terres, et le bout de mer le plus proche se trouve à 150 kilomètres de là . Donc si vous cherchez une vraie belle plage au bord de la mer, ce n’est pas à Zagreb que vous allez la trouver. En revanche, il y a tout de même une plage à Zagreb mais rassurez-vous ce n’est pas une plage façon Paris-plage » hein. Il s’agit de celle qui se trouve au bord du lac de Jarun. C’est un grand lac, en parti artificiel, qui se trouve sur la commune même de Zagreb, au sud-ouest du centre ville, et facilement accessible en tram depuis le cœur de la ville. Pour ma part, quand j’habitais Zagreb, je suis allé plusieurs fois passer des après-midis sur cette plage du lac de Jarun. L’été, elle présente l’avantage non négligeable d’avoir de nombreux arbres directement au bord de l’eau, ce qui fait qu’il y a énormément d’ombres. C’est vraiment agréable quand les températures extérieures flirtent avec les 35 degrés, de pouvoir se poser à l’ombre du feuillage d’un arbre plutôt que de cuire en plein cagnard, comme ça serait le cas sur une plage classique. Autre point important la température de l’eau du lac de Jarun est vraiment agréable. Facilement trois ou quatre degrés de plus que l’eau des plages de l’Adriatique, sur la côte. La raison est simple comme il s’agit d’un lac, l’eau est moins en mouvement donc elle se réchauffe plus vite qu’en pleine mer. On trouve aussi plusieurs bars de plages le Beach Bar Jarun, le Trocadero, la Ziraffa, le Saint-Tropez oui !, entre autres. Ils proposent tous des cocktails à siroter au bord de l’eau, dans des chaises-longues ou des transats à l’ombre de parasols. Le paradis quand on habite Zagreb et qu’on n’a pas envie la possibilité de faire les 150 km pour aller jusqu’aux vraies » plages ! Enfin, si vous aimez les sports nautiques, il y a de quoi en découvrir plusieurs sur cette plage de Zagreb le lac de Jarun dispose d’un club nautique, et il est fréquent d’y voir des gens pratiquer le canoë-kayak par exemple. Alors c’est clair, il n’y aura pas autant d’options qu’en bord de mer, mais c’est déjà pas si mal, surtout à proximité du centre ville d’une capitale. Aussi, notez que je parle d’une manière générale du lac de Jarun, mais il est assez grand et il y a plusieurs petits îlots dessus, accessibles par des ponts, chacun disposant de sa petite plage personnelle. Ce que je vous conseille c’est de faire le tour du lac à pied ou à vélo, c’est franchement une ballade sympa et de choisir la plage qui vous conviendra le mieux. Certaines sont plus fréquentées par des familles tandis que d’autres plutôt par des jeunes. Enfin, si vous venez à la fin du mois de juin, c’est aussi sur cette plage de Zagreb, aux bords du lac de Jarun, que se déroule le InMusic Festival, le plus gros festival de Croatie. Ça peut être l’occasion d’animer vos soirées zagreboises après une belle journée de détente à la plage ! Pratique pour s’y rendre depuis le centre, prenez le tram 5 ou 17 direction Precko dans les deux cas et descendez à l’arrêt Jarun. Le lac est à 600 mètres de là , au bout de la rue Hrgovici ulica. Il y a aussi la possibilité de prendre le bus pour faire cette dernière portion du trajet le 113 – seulement deux arrêts. Une fois face au lac, la plage principale se trouve sur la gauche, suivez la piste cyclable et vous tomberez dessus. Voilà pour la seule et unique plage à Zagreb avec possibilité de baignade celle du lac artificiel de Jarun. > Les autres plages près de Zagreb où les baignades ne sont pas possibles Autrement, il y a une sorte de plage dans le parc de Bundek, qui dispose aussi d’un plan d’eau, mais là les baignades ne sont pas possibles, donc je vous le mentionne uniquement si vous êtes en quête d’un endroit où poser une serviette pour passer une après-midi à bronzer. Idem, sur les bords de la Save la rivière qui traverse Zagreb, vous trouverez ici et là des spots un peu sableux aux allures de plage pour vous poser au bord de l’eau. C’est sympa car c’est tout près du centre de Zagreb, mais la baignade est franchement déconseillée en raison des courants potentiellement dangereux il est possible même qu’elle soit purement et simplement interdite. Ces mini-plages se trouvent ici et là j’imagine qu’il en existe d’autres mais je ne les connais pas tous. Bref, pour une plage près de Zagreb où la baignade est possible direction Jarun. Autrement si vous cherchez une vraie plage au bord de la mer sans devoir faire trop de route depuis Zagreb, je vous invite à lire la suite de cet article. Quelles sont les vraies plages près de Zagreb Si vous préférez les plages de bord de mer plutôt que celle du lac de Jarun, alors voici ci-dessous celles qui se trouvent relativement près de Zagreb toutes les plages ci-dessous sont accessibles en 2 heures de route maximum depuis la capitale croate. > Les plages d’Opatija Opatija est l’une des plus grosses stations balnéaires de Croatie, et, coup de chance, c’est aussi celle qui se trouve la plus près de Zagreb. Ses plages sont accessibles en 1H45 de route depuis la capitale croate, ce qui en fait un aller-retour tout à fait réalisable sur une journée, à condition de prendre l’autoroute assez bon marché en Croatie. La plupart des plages d’Opatija sont privées et appartiennent à des hôtels/resorts, mais il y a aussi des plages publiques, dont celle de Slatina qui borde le centre de la ville, ou bien celle de Črnikovica, quelques centaines de mètres plus proches de Zagreb. D’autres plages sont disposées ici ou là , vous les verrez en passant plage se dit plaza » en croate, c’est donc assez facile de repérer les panneaux ou même de demander votre chemin, en prononçant plaja », presque comme en français, donc. Attention tout de même à la dénomination plage » en Croatie, il est fréquent que ce mot soit employé pour parler en réalité d’un simple espace bétonné avec une échelle pour descendre directement dans l’eau et c’est le cas ici à Opatija. Si vous voulez faire une nuit sur place, regardez ici. > La plage de Žurkovo, près de Rijeka Source Google Streetview La vraie ville de bord de mer la plus proche de Zagreb c’est Rijeka, mais il s’agit davantage d’un gros port industriel plutôt que d’une ville balnéaire, donc je ne vous conseille pas cette ville pour ses plages. En revanche, si vous longez la mer simplement sur quelques kilomètres vers le sud-est, vous tomberez sur la plage de Zurkovo, une toute petite plage de galets, à l’eau claire, nichée dans une crique où mouillent de nombreux voiliers blancs un vrai coin de paradis. Le meilleur spot de baignade se trouve un peu plus loin sur la gauche quand vous longez la petite route qui contourne le café puis l’école de voile, en partant de l’endroit où mouillent les bateaux. A partir de là il y aura pas mal d’accès à l’eau via des escaliers depuis la route cf sur la photo ci-dessus. Pour s’y rendre, comptez un peu moins de deux heures de route depuis Zagreb en passant par l’autoroute. Si vous voulez faire une nuit sur place, regardez ici. > Les plages de l’île de Krk La Croatie possède de nombreuses îles magnifiques, aux airs de paradis sur terre, et l’île de Krk est l’une de mes préférées. Si vous cherchez une plage proche de Zagreb et que vous avez envie de quelque chose de réellement unique, alors regardez les plages de l’île de Krk, elles devraient vous ravir, même si la distance à parcourir sera légèrement supérieure que pour se rendre aux plages que je mentionnais plus haut comptez 175 km et 2H15 de route pour arriver aux premières plages sympas de l’île de Krk – celles de Silo au nord de l’île par exemple, même si il y a mieux en faisant quelques bornes de plus. A Krk, mon coup de coeur va pour les plages de Baška, qui se trouve à l’extrémité sud-est de l’île, ce qui rajoute encore quelques kilomètres à parcourir quand on arrive de Zagreb, mais on est vite récompensé par la beauté des paysages et la clarté de l’eau. Un de mes endroits préférés de Croatie, sans hésiter ! Notez qu’on peut accéder à l’île de Krk par un pont qui part du continent. Aux dernières nouvelles, ce pont était devenu gratuit après avoir été payant pendant longtemps. Donc vraiment une île facile d’accès depuis Zagreb pour profiter de ses plages ! Je vous encourage vraiment à passer au moins une nuit sur l’île de Krk, idéalement dans le village de Baška ici par exemple. > Les plages de Senj Toujours à moins de deux heures de route de Zagreb, vous pourrez trouver plusieurs plages sur la commune de Senj. Ma préférée, c’est la Plaža Prva Draga, légèrement au nord de la ville. Ce que j’adore sur cette plage, c’est justement que lon a une vue imprenable sur les reliefs de l’île de Krk qui se trouvent juste en face, de l’autre côté du petit bras de mer. Du coup la plage de Senj est vraiment magnifique, c’est un vrai plaisir d’y lézarder ou de se baigner dans son eau claire. Pour info, il est possible de louer des chaises longues et des parasols au bar qui se trouve là . L’inconvénient majeur il peut y avoir du monde aux beaux jours. A part ça, Senj n’est clairement pas la plus belle ville de la côte croate, loin de là il n’y a pas vraiment de cœur historique à visiter, c’est une bourgade purement balnéaire. Mais si vous voulez passer une nuit ou plusieurs sur place, je vous renvoie sur cette page. > La plage de Crikvenica Source Google streetview Dernière plage à proximité relative de Zagreb que je vous recommande celle de Crikvenica. Alors c’est une plage un peu particulière car certaines zones sont payantes 15 kunas soit environ 2€ à l’heure où j’écris ces lignes. Les zones payantes sont celles où la plage est constituée de sable fin mais n’allez pas imaginer des immenses étendues comme celle de notre littoral atlantique, hein, il y a, à mon goût, au moins autant de cailloux que de sable dans ces zones, et les zones sont finalement assez restreintes. A part ça, la plage de Crikvenica permet de louer des transats et des parasols, offre un large choix en activités nautiques, et dispose d’un grand nombre de cafés et restaurants au bord de l’eau, bref de quoi passer une journée très sympa au bord de la mer. Sachez juste que c’est une des plages les plus populaires de Croatie, donc attendez-vous à y trouver du monde. Si vous voulez les meilleures places, venez tôt ! Depuis Zagreb, la plage de Crikvenica est atteignable en 2 heures de route, pour 165 km de distance en prenant l’autoroute, toujours. Ce que j’aime, aussi, à Crikvenica, c’est les possibilités de randos dans l’arrière pays, notamment la balade qui monte vers la forteresse, mais là on va s’éloigner de notre sujet initial si je rentre dans les détails ! Si vous voulez loger sur place afin de profiter de la douceur de vivre de Crikvenica, de sa plage et des montagnes de l’arrière pays, alors je vous conseille de résider ici. A savoir sur les plages proches de Zagreb que je viens de mentionner J’ai sélectionné, dans ce petit guide, les meilleures plages dans un rayon de 2 heures de route de Zagreb. Toutes ces destinations sont donc atteignables lors d’un aller-retour à la journée, mais ça fait quand même beaucoup de kilomètres sans compter le coût de l’essence et éventuellement du péage si vous prenez l’autoroute – ce que je recommande fortement si vous ne voulez pas vous rallonger le trajet d’une bonne heure pour une simple journée à la plage. Mon conseil, c’est donc de faire une nuit ou plus sur place. Parmi les avantages de rester sur place plutôt que faire l’aller retour Zagreb-plage dans la journée pouvoir admirer tranquillement le coucher de soleil, boire un verre / déguster un bon repas au bord des flots il y a plein de restaurants en bord de mer en Croatie, profiter de la vie nocturne des stations balnéaires de la côte, ou bien encore profiter de la plage des le lever du soleil le lendemain matin, avant tous les autres touristes. Pour réserver vos nuits sur place, passez par ce site là , c’est le plus complet pour la Croatie et il y a régulièrement de très bonnes offres. > Les affaires à emmener sur les plages croates Il y a très peu de plage de sable en Croatie. La plupart du temps il s’agit de plages de graviers ou de galets, ce qui n’est pas forcément toujours très confortable ni pour faire bronzette ni pour se baigner. A chaque fois que je vais à la plage en Croatie, je constate que les gens portent des espèces de chaussons comme ceux-là , ça me parait être clairement un objet indispensable à tous ceux qui veulent pouvoir se baigner tranquille sans se faire mal à la plante des pieds. Perso je n’ai pas encore testé mais ça ne saurait tarder ! A part ça, emmenez les classiques de la crème solaire, de quoi vous couvrir, de l’eau, etc… Inutile de trop vous charger en jeux de plages de type raquettes ou mölkky car vous n’aurez que très rarement l’occasion d’en profiter, à cause des cailloux et de l’étroitesse de la plupart des endroits. > Louer des chaises longues en Croatie La plupart des petites criques de Croatie sont assez sauvages » dans le sens où il n’y a pas grand aménagement souvent il s’agit même d’une simple dalle de béton avec une échelle pour descendre dans l’eau. C’est très rustique. Mais les plages des villes plus touristiques ont généralement toujours un ou deux bars/restos sur place où il est possible de louer des chaises longues, des parasols, et même parfois des équipements de baignade du type planche pour paddle, canoë, …. Les locations se font soit à la journée soit à la demi-journée, et coûtent selon les endroits entre 6 et 25€ l’équivalent en kuna de grosso-modo 50 à 200 kunas, ce qui est franchement cher je trouve. Dans certains endroits, l’accès aux douches et aux toilettes est payant, et réglable uniquement en pièces de monnaie prévoyez d’en avoir sur vous. Résumé des plages de Zagreb et des environs Voilà on arrive à la fin de cet article consacré aux plages proches de Zagreb. Pour résumer, la seule et unique plage à Zagreb même c’est celle du lac de Jarun il y a plusieurs bouts de plage sur ce même lac, et sinon il faudra faire en moyenne 2 heures de route pour trouver une plage sympa sur la côte adriatique Opatija, Zurkovo, Senj, …. Si vous deviez faire l’aller-retour à la journée, je vous conseille de le faire uniquement en voiture car en transport en commun ça prendra trop de temps et vous aurez souvent un changement à faire, si vous choisissez les plages que j’ai évoquées. Si vous devez louer un véhicule sur place, regardez ici j’ai loué ma voiture 11€ la journée, kilomètrage illimité et assurance inclue. Mais idéalement je vous recommande plutôt de dormir sur place afin de profiter vraiment de tout ce que le bord de mer de Croatie a à offrir. Dans ce cas, regardez pour les locations sur ce site mon préféré actuellement. Il ne me reste plus qu’à vous souhaiter un bon séjour à Zagreb et en Croatie ! Profitez bien de toutes ces belles plages et de ces beaux paysages ! Jérémy.
Si vous souhaitez acheter un bateau dans lequel vous pourrez vivre, vous trouverez dans cet article les questions qu’il faut se poser ainsi que leurs réponses pour que votre projet soit mené à bon port. Si vous avez décidé de vivre à bord d’un bateau, c’est certainement que vous avez déjà de l'expérience en navigation. Cependant, il sera très important de choisir le type de bateau qui conviendra le plus à vos besoins et à votre budget. Une fois que vous aurez choisi le bateau dans lequel vous allez vivre et que vous saurez où l’amarrer, l’étape suivante sera de vous préparer et vous habituer à la vie à bord, puisque ce sera un changement important sur tous les points. Passer d’une grande maison, d’un studio, ou même du canapé d’un ami, à la vie dans un bateau, est un changement radical, surtout en ce qui concerne l’espace et l’organisation. Vous avez certainement déjà étudié la question du budget et vous savez combien vous coûtera un bateau neuf ou d’occasion. Si vous n’êtes pas encore propriétaire, nous vous conseillons de de passer des vacances et quelques week-ends en vivant dans un bateau ayant les mêmes caractéristiques que celui que vous comptez acheter. Si vous avez prévu de vivre avec quelqu'un d'autre à bord, vous devrez réfléchir à la façon dont vous vous partagerez l'espace. En effet, passer autant de temps dans si peu de mètres carré n’est pas fait pour tout le monde, famille, amis ou couples. Vous devrez réussir à partager ce rêve avec tous les voyageurs, même avec votre chien s'il est de la partie. Toute personne à l’esprit voyageur aura les yeux qui brilleront à l’idée de penser vivre à bord d’un bateau. En effet, pendant longtemps, c’était un luxe réservé aux bohémiens, bien que si l’on ne remonte pas très loin dans le temps, cela était aussi relié aux châtiments et à la pauvreté extrême. Désormais, il existe des endroits où la vie à bord représente tout un symbole, comme dans les canaux d’Amsterdam, où les gens habitaient dans des bateaux car il n'y avait pas assez de logements après-guerre. Cela dit, le rêve peut vite virer au cauchemar, car pour vivre dans un bateau, il faut savoir être un peu minimaliste. Si vous faites partie des personnes qui ne peuvent vivre sans une montagne de vêtements et de produits de soin, vous devrez vous tourner vers un bateau plus grand, mais il est possible que celui-ci ne rentre pas dans votre budget. Votre souhait de vivre à bord d’un bateau est sûrement lié à votre passion pour la mer, et au fait que vous ayez déjà des connaissances du monde nautique. Si c’est le cas, la transition se fera plus rapidement et plus facilement. Cependant, si vous recherchez un changement de vie radical, vous aurez tout de même beaucoup de choses à apprendre avant de commencer, comme les différents types de bateaux, l’achat du bateau, et bien d'autres questions fondamentales. Plus d’informations Bateaux à moteur types, moteurs et utilisations Tout savoir sur les voiliers coque, quille, gouvernail et gréement Comment acheter un bateau le guide Si vous préférez l’espace à la vitesse, un bateau hybride comme le Greenline 40 peut être un bon compromis, notamment grâce à ses panneaux solaires qui vous aideront à réduire les dépenses en énergie. Photo Naviguer Avant de choisir le bateau qui vous accompagnera dans cette aventure, vous devez savoir si vous comptez naviguez avec, ou simplement rester amarré dans un port. Cela vous permettra d'estimer les dépenses que vous aurez à faire pour le rendre opérationnel. Si le bateau que vous choisissez n’est pas utilisé pour naviguer, cela peut-être que les moteurs ne fonctionnent plus, qu’il n’a pas été utilisé depuis longtemps, ou si c’est un voilier, que le gréement doit être rénové. Un vieux bateau mal entretenu n’est pas la même chose qu’une vieille maison dans laquelle un peintre n’aura qu’à tout remettre au goût du jour. Les installations électriques souffrent énormément des intempéries de l’environnement marin, donc votre investissement pourra s’avérer être très peu rentable si le bateau a été malmené auparavant. Sachez aussi qu'il existe des bateaux dont la structure peut être facilement modifiée afin d'optimiser l'espace. Une fois que vous aurez trouvé le bateau de vos rêves, vous devrez décider si vous préférez l’amarrer à un port ou véritablement quitter la terre et vivre au large en naviguant. Entre l’une et l’autre de ces options, le budget et le style de vie varient beaucoup. Vivre de traversées est une option très intéressante au niveau du budget, mais il vous faudra être plus expérimenté en navigation. Ceux qui font ce choix pourront jeter l’ancre dans des baies ou des criques, mais il faudra toujours faire attention à la météo, car c’est de celle-ci que dépendra le confort et la sécurité des passagers. Il est également possible de réduire les coûts de carburant en ayant des batteries adaptées, rechargées grâce à des panneaux solaires, des générateurs éoliens ou des hydrogénérateurs. Il sera également nécessaire d’avoir une petite embarcation pour aller chercher des vivres sur la terre ferme. Certains navigateurs n’entrent au port que pour recharger le carburant et l’eau, faire quelques petites réparations, ou lorsque le temps est vraiment trop mauvais. Bien que cette vie semble s’apparenter à la liberté totale, il faut quand même faire un planning pour organiser l’entretien du bateau, mais votre souci principal devra bien entendu être de prendre connaissance de la météo pour ne pas vous mettre en danger. Un bateau avec une grande cuisine confortable, lumineuse, de grands placards et un bon réfrigérateur est idéal. Vous trouverez tout cela dans les catamarans, bien que leur prix soit un peu élevé. Photo Où s’amarrer? Choisir où amarrer votre bateau est la deuxième question que vous aurez à vous poser et elle dépendra de nombreux facteurs, notamment de votre vie professionnelle. Ceux qui ont la chance d’avoir un métier qui ne nécessite pas d’être dans au bureau tous les jours seront avantagés sans lieu de travail fixe, pas besoin d’un amarrage fixe. Ceux-ci pourront donc voyager de port en port ou simplement choisir le moins cher d’entre eux. Bien-sûr, il faudra vérifier la qualité de la connexion Wi-fi, étant donné que dans certains ports la connexion 3 ou 4G n’est pas optimale non plus. Généralement, la location d’un amarrage prévoit les frais d’eau, d’électricité, et la connexion internet dans certains cas. Pour beaucoup de personnes, pouvoir changer de port, de ville, de mer ou d’océan au gré de ses envies est un rêve, cependant il est certain qu’il faut avoir un minimum de connaissances avant de sauter le pas. Ce qui est sûr, c’est que le choix du port de départ dépendra du budget que vous souhaiterez mettre. Par exemple, si vous souhaitez amarrer à Monaco, il ne faut pas oublier que lors d’événements comme le Grand Prix de formule 1, les prix peuvent vite augmenter. En France, les contrats de vente ou de location d'amarrage peuvent être très différents selon les villes. Pour vous aider dans vos démarches, vous pouvez consulter notre section places de ports à louer sur iNautia, qui propose une large gamme de prix selon le port et la longueur. La vie à bord Une fois que vous aurez choisi le bateau le plus adapté pour vous et le port où vous voudrez l’amarrer, l’étape suivante sera de vous habituer à la vie à bord. Ce sera sûrement la partie la plus dure car il s’agit d’un changement radical sur tous les points. Ça n’a l’air de rien, mais en réalité c’est plutôt compliqué, de plus, apprendre à se débarrasser des objets qui vous encombrent sera très satisfaisant, surtout en ce qui concerne les meubles et les vêtements. Vêtements Pour nettoyer les vos habits, il faut savoir que certains ports proposent des services de blanchisserie, ce qui vous facilitera la tâche. Cette option n'est pas toujours disponible, cependant il existe tout de même d’autres services de ramassage et de livraison des vêtements, ceux-ci sont un peu plus chers, mais restent la solution la plus pratique. Alimentation Il est certain que manger au restaurant tous les jours n’est ni bon pour votre santé, ni pour votre porte-monnaie. Le grand inconvénient à vivre dans un espace réduit est de ne pas pouvoir stocker beaucoup de produits frais. Il vous faudra donc faire des courses assez régulièrement, être prévoyant et optimiser au maximum la capacité de stockage de votre réfrigérateur pour éviter le gaspillage. Certains bateaux sont très pratiques pour passer beaucoup de temps à bord mais aussi pour y vivre. C’est le cas de beaucoup de Greenline dont le design offre un style de vie plus relaxant et minimaliste. Hygiène corporelle Si vous restez dans le même port pendant une longue durée, le mieux sera d’utiliser les sanitaires du port ou du club, cela vous évitera d’avoir à déplacer votre bateau juste pour changer l’eau. Tout cela n’est qu’une question d’habitude et d’organisation les toilettes ne sont pas toujours près de votre bateau, et traverser tout le port jusqu’aux douches avant de se rendre compte qu’on a oublié son shampoing est très énervant. La vie à bord en hiver Si vous avez la chance de pouvoir choisir où vous allez naviguer, n'hésitez pas à aller dans des endroits ou le climat sera agréable. Si ce n’est pas possible, il faudra prendre en compte certains aspects pour bénéficier d’une température agréable pendant votre voyage. Tout d’abord, il faut savoir que le grand problème auquel vous pourrez avoir à faire face est l’humidité. C’est une chose à laquelle on ne pense pas forcément quand on vit “sur la terre ferme”, mais qui peut vite être difficile à gérer lorsqu’on est à bord. La solution la plus pratique est d’utiliser un déshumidificateur, qui vous épargnera de nombreux problèmes pas seulement l’humidité en elle-même, mais également la sensation d’humidité et la vitesse à laquelle le bateau récupèrera une température agréable. Vous aurez également besoin d’un chauffage électrique pour un bateau de 10 ou 12 mètres, un chauffage de 2kW sera suffisant. Vous devrez alors recharger le chauffage quand vous serez au port pour pouvoir l'utiliser en mer. Lorsque vous serez en mer, vous pouvez aussi utiliser un chauffage diesel. Leur consommation de carburant est très basse, et leur consommation d’énergie aussi 12 volts. Ils vous permettront de chauffer votre bateau facilement et rapidement et aussi de vous aider à faire sécher vos habits si vous naviguez par mauvais temps. L’isolation à bord est également très importante. Dans une bateau récent, vous ne devriez pas avoir trop de problèmes, bien qu’ils soient généralement conçus pour naviguer en été. Au contraire, sur des bateaux anciens, vous devrez porter une attention particulière à la qualité de l’isolation, car ceux-ci sont plus enclins à subir de fortes différences de températures entre l'intérieur et l'extérieur. Pour votre premier hiver à bord, il sera judicieux de faire des révisions sur votre bateau dans les parties qui sont difficiles d’accès, car c’est là que vous aurez le plus de chances de voir l’humidité et la moisissure s’accumuler. Vivre à bord d’un bateau et naviguer à travers le monde est un rêve qu’ont en commun de nombreux marins. Le Beneteau Oceanis est un voilier hauturier pensé pour les longues traversées. Réparations et entretien L’idéal est d’être un minimum bricoleur, ainsi vous pourrez régler vous-même la plupart des petits problèmes de votre bateau sans avoir besoin de recourir aux services d’un professionnel. Cela vous permettra de garder votre argent pour les moments où vous aurez besoin de faire de grosses réparations que vous ne pouvez pas faire seul. Vous apprendrez au fur et à mesure à faire ces petites retouches et pourrez demander de l’aide à vos voisins de port ou vous aider d’internet. Une fois par an, ou tous les deux ans, prévoyez l’hivernage pour repeindre la coque et changer les anodes sacrificielles et faire une révision générale des oeuvres vives, des sondes, des passe-coques des robinets, des hélices, du gouvernail, etc. Il est très important de savoir que généralement, lorsque votre bateau est à l’hivernage, vous n’êtes pas autorisé à vivre dedans, il faudra donc penser à trouver un ami ou des membres de votre famille pour vous accueillir pendant ce temps. Conclusion Mettez votre maison en vente, trouvez un emploi sans attaches, cherchez le bateau de vos rêves, et vous pourrez abandonner la terre pour aller en mer. Il ne faut pas croire que ce rêve n’est accessible qu’aux jeunes ou aux nomades, c’est au contraire un plan de vie idéal pour partager de superbes moments en couple, et même avec des enfants. Il existe d’ailleurs de nombreux ouvrages de familles ayant voyagé en bateau, vous pourriez commencer à vous accoutumer à ce style de vie en lisant des livres sur ce thème lors de vos prochaines vacances. En savoir plus Partir vivre en voilier
Forum Madagascar Expatriation Madagascar Signaler gipsy queen Le 15 août 2006 qui peut me dire s il est facile de s installer pour pas trop cher au bord de la mer a madagascar pour une retraite et avec de petits moyens financiers...est il possible d y construire ou d y acheter un petit bungalow pas forcement ds une region touristique mais beau paysage qd meme!!!! LOCATION DE VOITURES Location de voitures - Recherchez, comparez et faites de vraies économies ! HÔTELS Besoin d'évasion ? Réservez votre hébergement dès à présent LOCATION DE VOITURES Le plus grand service de réservation de locations de voitures au monde Services voyage Vol Madagascar pas cher Location de voiture Madagascar Séjours Madagascar Hôtels Madagascar Campings Madagascar Petites annonces Madagascar Compagnon de voyage Madagascar partir à Madagascar Transport Trouver un billet d'avion Séjour Réserver un voyage sur mesure Réserver un circuit Réserver avec une agence locale Réserver un voyage authentique Hébergement Réserver un hôtel Louer un appartement Réserver une chambre d’hôte Rechercher des auberges de jeunesse Sur place Réserver votre activité Boutique -5% Achetez vos guides livraison gratuite Guide du routard Madagascar Nos 1200 coups de cœur dans le monde Services Annonces Madagascar Comment y aller Routard Assurance Indemnisation problèmes aériens Voir aussi Hôtels Madagascar Hôtels Tananarive Antananarivo 72 Hôtels Hôtels Antsirabe 34 Hôtels Hôtels Diégo-Suarez Antsiranana 30 Hôtels Hôtels Île Sainte-Marie Nosy Boraha 29 Hôtels Hôtels Tuléar Toliara 22 Hôtels Hôtels Morondava 21 Hôtels Hôtels Province d'Antananarivo 21 Hôtels Hôtels Mangily 20 Hôtels Hôtels Île aux Nattes 19 Hôtels Hôtels Île de Nosy Be 19 Hôtels Voir tous les hôtels Madagascar
Comme près de la moitié des professeurs néo-titulaires chaque année, Martin, 28 ans et prof d’EPS, a dû quitter son académie de formation, Montpellier 34, pour enseigner en Seine-Saint-Denis 93. Une fois son diplôme en poche, destination Villiers-le-Bel, dans un collège de REP+. En partant, il est enjoué, curieux et volontaire. En arrivant, le choc est rude, l’adaptation lente, le quotidien pas toujours facile. Mais, il y reste deux ans et s’y épanouit professionnellement. Pour rejoindre sa copine, il se PACse et obtient sa mutation dans la région montpelliéraine en tant que remplaçant. De retour au pays, il s’ennuie ferme. S’il était au courant des risques de burn-out » dans son métier, il ne s’attendait pas à vivre l’exact inverse un bore-out », qui traduit l’ennui total au travail. Dans le 93, il avait l’impression de pouvoir bouger les lignes » et d’aider ses élèves » issus des quartiers les plus prioritaires ». Il se sentait utile ». Par exemple, Martin et L4un de ses collègues avaient réussi à organiser une classe découverte de cinq jours à la mer. Il avait fallu se bagarrer pour maintenir le projet, convaincre les parents réticents, vendre des gâteaux pour aider les élèves qui ne pouvaient pas payer. Le pari n’était pas gagné d’avance, mais la récompense à la hauteur de l’investissement. Certains n’avaient jamais vu, ni touché le sable… Quand ils sont arrivés, ils étaient comme des fous ! C’était incroyable de les voir comme ça », se souvient-il. Mes profs, ces héros Sa première année dans le sud est au contraire marquée par une série de désillusions une mission sociale dévoyée, un déficit de reconnaissance générale, des moyens au rabais, un manque de solidarité et de connivence au sein des équipes pédagogiques. Vidé de toute motivation, il en arrive à se demander pourquoi il exerce ce métier. La stimulation professionnelle en moins, sa vocation vacille. Pour combler le vide, il s’investit dans des projets personnels il achète puis retape sa maison, retrouve ses amis d’enfance, et surtout, se donne à fond pour son club de rugby. Dans ce sport, j’ai pu renouer avec ce qui me faisait vibrer dans mon métier. » Mais, ses meilleures années d’éducateur sportif resteront cantonnées au 93. L’ennui n’est qu’une des facettes cachées de la crise que traverse le métier de prof. Cela peut être lié à un sentiment de non-utilité sociale, d’être uniquement perçu comme une machine à examens ou encore d’un manque de considération », pointe Anne Barrère, enseignante-chercheuse au Centre de recherche sur les liens sociaux et auteure du livre Au coeur du malaise des enseignants Armand Colin, 2017. Ces effets collatéraux sont amplifiés par le phénomène actuel d’héroïsation » des profs. Encore plus que leurs aînés, les jeunes enseignants doivent répondre à la question à quoi je sers ? explique la spécialiste. Le sens que l’on donne à son métier fait tenir, surtout quand il est usant. » Le système d’affectation des profs est au cœur de ce mal-être. Dans l’enseignement, il n’y a pas de perspectives d’évolution, la mutation est donc le seul mouvement possible dans une carrière. Comme l’attente est grande, la déception peut l’être tout autant », souligne Anne Barrère. Problème, le mécanisme est rigide. Après avoir passé le concours dans une des 30 académies, les 725 200 profs du secondaire sont répartis – selon les points dont ils disposent – dans tous les établissements publics de France. Comme ces points s’acquièrent avec le temps, les moins expérimentés en ont moins et sont affectés dans les zones les plus difficiles, accumulant retards scolaires et problèmes sociaux. Quand certains y voient l’implacable loi de l’offre et la demande, Anne Barrère y voit une sorte de bizutage institutionnel ». J’ai rendu ma casquette d’éduc spé » Faute de souplesse, de nombreux jeunes profs sont alors contraints de choisir entre stimulation professionnelle et vie personnelle épanouie. Bastien, 33 ans, a enseigné la physique-chimie pendant cinq ans à Noisy-le-Sec 93. Après une rencontre amoureuse, il s’est fait muter à Illkirch-Graffenstaden, dans la banlieue de Strasbourg 67. Père de deux enfants en bas-âge, sa vie personnelle est désormais comblée et, professionnellement, il rencontre moins de défis ». Je suis redevenu prof, j’ai rendu ma casquette d’éducateur spécialisé. » C’était une belle expérience » mais aujourd’hui il n’a ni l’envie et ni l’énergie d’y l’inverse, Aubrée, 28 ans, Landaise d’origine, prof d’anglais depuis six ans dans un collège d’Aubervilliers 93, rdoute de quitter son poste. Quand nos anciens collègues installés dans le sud nous appellent, ils nous racontent qu’ils s’ennuient terriblement. Ce n’est plus du tout le même métier. » Pour elle, la perspective de partir serait atroce ». Dans le 93, elle est bien plus qu’une prof d’anglais, elle ne fait pas qu’enseigner, il y a un challenge social » dans son métier. Et même si elle voulait partir avec ses 800 points accumulés, elle n’est pas sûre d’obtenir le poste visé. C’est la loterie ! » Or, une fois la demande faite, plus de retour possible. Elle devra y rester dix du privé ? Pourrait-on penser le système autrement ? Les pistes avancées pour réformer les ressources humaines dans l’éducation nationale s’inspirent clairement du système privé. Dans son ouvrage Et si on tuait le Mammouth, réédité en 2018 aux Editions de l’AUbe, l’ancien recteur Bernard Toutlemonde propose trois axes la régionalisation du concours les profs restent dans leurs territoires d’origine – à l’instar du concours des instituteurs, la contractualisation multiplication des contrats de x années dans tel ou tel territoire et enfin le profilage, qui permet aux proviseurs de recruter leurs professeurs sur CV et motivation comme pour un entretien d’embauche classique. Chacune de ces propositions libérales a été testée dans un ou plusieurs territoires. Mais elles peinent à porter leurs fruits et à convaincre. Les profs, surtout. Parmi ceux que l’on a interrogés, plusieurs listent leurs inconvénients la régionalisation attirerait certes des candidats mais enclaverait encore plus les territoires honnis comme les académies de Créteil et Versailles – qui malgré les mesures incitatives n’arrivent toujours pas à recruter. Pour ce qui est de la contractualisation, elle rime, pour eux, avec précarisation, turnover nocif et économies de bout de chandelles. Enfin, les postes à profil » ne ramènent pas assez de candidats pour qu’il y ait une sélection en bonne et due forme. De nouveau, celles et ceux qui s’y retrouvent ne l’ont pas de la formation continue ? Autre levier pour valoriser les carrières qui devrait mettre tout le monde d’accord l’argent. A partir d’octobre prochain, le ministère de l’Education nationale va offrir une prime de 10 000 euros à tout prof qui resterait au moins cinq ans en Seine-Saint-Denis 93. L’objectif est clair inciter les profs à se projeter dans les territoires compliqués. Mais le gouvernement passe encore à côté des problèmes. Cette mesure n’est pas à la hauteur lorsque l’on sait que les salaires sont gelés depuis plus de dix ans et que cette prime ne compte pas dans le calcul des pensions de retraite », dénonce le syndicat SUD Education 93 dans un communiqué publié en mars dernier. Ancrage territorial ou turn-over institutionnalisé, rien ne semble capable de neutraliser l’irrémédiable bore-out des profs. Et si la parade contre l’ennui se nichait dans leur formation en continu ? La majorité des profs européens y sont obligés. Un minimum d’heures fixé au préalable dépend des pays trois jours par an en Slovénie contre 19 en Islande*. La logique paraît implacable apprendre toujours plus pour moins s’ennuyer voire préparer l’après. Pourtant, la formation continue des enseignants français reste facultative. Et totalement absente de la circulaire présentant les 12 engagements du gouvernement pour la rentrée 2021.
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