Lepetit zizi des statues grecques Ă©tait le signe d’une grande intelligence. C'est pas sorcier ForĂȘts, sols, ocĂ©ans : les puits de carbone pour les nuls iStock. Dans la lutte contre le rĂ©chauffement climatique, les puits de carbone, ces rĂ©servoirs Ă  C02 naturels ou artificiels, sont de bons alliĂ©s, explique un dossier de TV5 Monde. À retenir : Les ocĂ©ans. 30 % du CO2 produit Onsait maintenant pourquoi les statues antiques ont de petits sexes. Quand on se balade dans Rome, capitale italienne mondialement connue, impossible de passer Ă  Dansla grĂšce antique un petit pĂ©nis est donc bien considĂ©rĂ© comme un signe de noblesse et de supĂ©rioritĂ© culturelle. A l’opposĂ© un gros pĂ©nis qui symbolisait le comique. Cela est vrai en particulier dans le théùtre oĂč le fou est gĂ©nĂ©ralement affublĂ© d’un phallus gigantesque. Eminem Daniel Radcliffe. Oliver Hudson. Shia LaBoeuf. Rob Kardashian. Ricky Gervais. Ils ont un petit pĂ©nis, et ils assument sauf quand les ex se chargent de balancer. Tour d’horizon des stars connues pour avoir un Entre2 et 6 ans, votre enfant explore son corps, pose des questions Ă  propos du zizi, de la zĂ©zette, veut comprendre la fĂ©condation et savoir d’oĂč viennent les bĂ©bĂ©s c'est le dĂ©but d'un long chemin qui le mĂšnera Ă  la dĂ©couverte de sa sexualitĂ©. Comment rĂ©agir face Ă  cette phase de dĂ©couverte du sexe. dCtS7db. Parmi les langues les plus parlĂ©es dans le monde, l'anglais se classe bien avant le français. Mais la langue de MoliĂšre a encore de solides positions, notamment aux Jeux Olympiques. Une place centrale pour le français L'article 23 de la Charte olympique, qui est en quelque sorte la loi... Published 08/28/22 L'accĂšs Ă  certaines portions de plage, fermĂ©es par des barriĂšres et occupĂ©es par des transats, est fortement restreint ou mĂȘme impossible. Qu'en est-il, alors, de la rĂ©glementation sur les plages ? Est-il possible de les privatiser en France ? La plage appartient au domaine maritime public Il... Published 08/27/22 Le haut est nettement plus impressionnant que le bas. La GrĂšce Antique a toujours fascinĂ© les archĂ©ologues et les historiens, certes, mais aussi les amateurs d’art. Et si vous avez dĂ©jĂ  eu l’occasion d’admirer des statues sculptĂ©es Ă  cette Ă©poque, alors vous savez sans doute qu’elles ont toutes un point en commun les hommes sont dotĂ©s d’un minuscule pĂ©nis. Et si vous vous demandez pourquoi, alors les quelques lignes qui suivent devraient beaucoup vous intĂ©resser. Ellen Oredsson s’est en effet penchĂ©e sur la question et elle est revenue sur cet Ă©trange phĂ©nomĂšne dans un article publiĂ© sur son blog personnel, Ă  cette adresse. Le haut est nettement plus impressionnant que le bas. Elle n’est pas forcĂ©ment trĂšs connue des nĂ©ophytes mais Ellen se passionne pour l’art depuis de nombreuses annĂ©es maintenant et elle a mĂȘme suivi un cursus universitaire en histoire de l’art Ă  Sydney. Dans la GrĂšce Antique, les grands pĂ©nis Ă©taient trĂšs mal vus Depuis, elle a travaillĂ© pour de nombreuses galeries et elle vit depuis quelques mois Ă  Bangkok, en ThaĂŻlande. Accessoirement, elle a aussi publiĂ© plusieurs articles scientifiques portant sur la GrĂšce Antique et elle connaĂźt donc plutĂŽt bien son mĂ©tier. Selon Ellen, donc, les gros pĂ©nis n’avaient pas bonne presse dans la GrĂšce Antique. Ils Ă©taient gĂ©nĂ©ralement associĂ©s Ă  des hommes lubriques ou insensĂ©s, voire parfois Ă  des semi-hommes tels que les satyres. A l’époque, l’homme idĂ©al devait ĂȘtre rationnel, raffinĂ© et autoritaire. Il pouvait avoir beaucoup de rapports sexuels mais il accordait peu d’importance Ă  la taille de son sexe. En outre, le fait d’avoir un petit pĂ©nis lui permettait de garder la tĂȘte froide en toute circonstance, et donc de conserver son sens logique. Cette explication n’est guĂšre surprenante compte tenu du fait que les Grecs ont Ă©tĂ© les premiers Ă  opposer la raison au dĂ©sir. A leurs yeux, l’homme devait en effet sublimer le sexe et l’intellectualiser pour aller au-delĂ  de la pulsion animale. Les statues sculptĂ©es Ă  l’époque ne l’étaient pas uniquement pour dĂ©corer les villes et les demeures. Elles Ă©taient utilisĂ©es comme des symboles pour reprĂ©senter la culture grecque et c’est donc pour cette raison que les hommes sont tous dotĂ©s d’un petit pĂ©nis. Et si le gland n’est pas apparent, c’est tout simplement parce que l’homme bien Ă©duquĂ© ne devait pas trop se dĂ©couvrir Ă  l’époque. A une soixantaine de kilomĂštres du parc olympique de Pyeongchang, existe un autre parc oĂč les idoles n'ont rien Ă  voir avec celles des Jeux d'hiver bienvenue Ă  "Penis Park", lieu de vĂ©nĂ©ration consacrĂ© au sexe masculin. En cette veille de Saint-Valentin, il n'y a pas foule dans les travĂ©es du Penis Park. Au-dessus d'une baie, non loin de Sinnam plage, la vue est pourtant imprenable sur la mer du Japon. Mais comme Ă  Pyeongchang oĂč le vent glacial tempĂšre les ardeurs des spectateurs, les conditions mĂ©tĂ©o ont plutĂŽt donnĂ© envie aux visiteurs de rester sous la couette. Imperturbables face Ă  l'Ă©tendue bleue, se dresse une cinquantaine de pĂ©nis gĂ©ants, sculptĂ©s dans diffĂ©rents matĂ©riaux, sortis de nulle part sauf de la mythologie locale. "Une lĂ©gende raconte qu'un jour, une jeune femme, abandonnĂ©e quelques instants sur un rocher prĂšs de la mer par son fiancĂ©, est morte noyĂ©e en raison d'un orage qui a empĂȘchĂ© son homme de la retrouver. AprĂšs cela, le village de pĂȘcheurs voisin s'est retrouvĂ© incapable de pĂȘcher. Il n'y avait plus de poisson", raconte Seyoen Park, une des guides du Penis Park. "La disette s'est arrĂȘtĂ©e lorsqu'un homme, ayant fait la fĂȘte et pris beaucoup de plaisir dans la mer, a pu pĂȘcher de nouveau. Les habitants ont alors compris que la jeune femme morte avant d'avoir connu les plaisirs de la chair avait envie d'ĂȘtre exposĂ©e au sexe masculin. Et les habitants ont dĂ©cidĂ© de construire d'Ă©normes sculptures de pĂ©nis pour la satisfaire". PĂȘcheurs et pĂ©cheurs Il existe, Ă  vrai dire, probablement autant de lĂ©gendes sur ce parc que de statues de phallus exposĂ©es. Mais les lĂ©gendes sont tenaces, et les pĂȘcheurs, comme les pĂ©cheurs, y trouvent leur compte. Penis Park fait partie d'un complexe plus vaste, dĂ©nommĂ© Haesindang Park, et qui a vu le jour en juillet 2002, bien longtemps aprĂšs cette lĂ©gende non datĂ©e avec certitude, mais qui aurait plus de 500 ans, selon des habitants de Samcheok, le village de pĂȘcheurs. On y trouve le plus grand musĂ©e maritime de CorĂ©e du Sud, qui prĂ©sente une collection d'objets issus du folklore local ou encore un jardin botanique. Comme souvent, la lĂ©gende a bon dos. Et le parc, aujourd'hui, est aussi devenu une rente pour la rĂ©gion. C'est le gouvernement corĂ©en, la province de Gangwon et la ville de Samcheok qui l'ont financĂ©, indiquent les autoritĂ©s du parc. Et 270 000 visiteurs sont venus s'y presser l'an dernier, ajoutent ces responsables, faisant de l'endroit l'un des plus connus de CorĂ©e du Sud, Ă  l'Ă©tranger. Tourisme mis Ă  part, cela n'empĂȘche pas les habitants de croire encore Ă  certaines vertus liĂ©es ces statues. Sculpter des phallus "Le village est toujours riche. C'est pourquoi les gens y croient et que de nos jours encore, nous faisons un festival dans le village", pour cĂ©lĂ©brer ces statues tous les deux ans, relate Seyoen Park. Les enfants ont le droit de venir dans ce parc trĂšs spĂ©cial. "Les familles sont acceptĂ©es mais quelques cabanes, oĂč sont exposĂ©es certaines choses, ne sont pas autorisĂ©es aux enfants", dĂ©veloppe la guide. Pendant le festival, les participants peuvent mĂȘme apprendre Ă  sculpter des phallus, cela participe Ă  "l'Ă©tude du patrimoine culturel corĂ©en de ce village de pĂȘcheurs". Le parc est aussi visitĂ© par des couples souhaitant avoir un enfant, comme un endroit de culte dĂ©diĂ© Ă  la fertilitĂ©. "Il y a aussi des personnes de l'ancienne gĂ©nĂ©ration, qui viennent car elles espĂšrent avoir un petit-fils. Elles viennent ici, elles prient le ciel de le leur donner", ajoute la guide. Le sexe de l’homme est unique ! Alors que la majoritĂ© des mammifĂšres ont un baculum, c’est Ă  dire un os qui lui permet d’ĂȘtre en Ă©rection, l’homme n’a pas le moindre os. Ce sont les corps caverneux qui se gorgent de sang et permettent l’érection. Et en matiĂšre d’érection, l’homme s’en sort aussi plutĂŽt bien, comparĂ© aux autres mammifĂšres. Le gorille atteint pĂ©niblement les 3,2 cm, le chimpanzĂ© 7,6 cm alors que l’homme est entre 12,8 et 14,5 cm. Chez la femme, pas de record Ă  battre. Le clitoris est une sorte de pĂ©nis miniature. Sous l'effet de l'excitation, il se gorge de sang et peut atteindre 1 cm, alors qu’au repos sa taille est de 3 Ă  6 mm. Donc, rien Ă  voir avec le sexe masculin
 Pourtant, le sexe de l’homme et de la femme ont la mĂȘme origine embryologique le pĂ©nis est l’homologue du clitoris, les testicules des ovaires, la prostate de l’utĂ©rus
 Mais, n’oubliez pas messieurs, qu’au dĂ©part, tous les embryons ont un sexe fĂ©minin. Entretien avec le Dr Alain Froment, mĂ©decin, anthropologue et directeur de collections d’anthropologie au musĂ©e de l’Homme. Il vient de publier aux Ă©ditions Odile Jacob Anatomie impertinente – le corps humain et l’évolution » 1. Pourquoi Docteur Dans les grottes prĂ©historiques, il y a des reprĂ©sentations du sexe. Est-ce qu’il y a eu des tabous autour de cela, Ă  l’époque ? Dr Alain Froment Pas tellement. L’art pariĂ©tal a Ă  peu prĂšs 30 000 ans. Souvent, ce sont des sexes fĂ©minins trĂšs schĂ©matisĂ©s, parfois un simple triangle, ou un triangle avec une petite fente. Le sexe masculin est beaucoup plus rarement reprĂ©sentĂ©. Mais on voit bien que ces cultes-lĂ  sont liĂ©s Ă  la fĂ©conditĂ©, Ă  la vie gĂ©nĂ©sique, etc, et certainement aussi Ă  la chasse, au succĂšs d’un certain nombre d’activitĂ©s de survie. Une Ă©tude rĂ©cente a montrĂ© que la taille moyenne du pĂ©nis en Ă©rection, a diminuĂ© ces derniĂšres annĂ©es. Est-ce que c’est une thĂšse Ă  laquelle on peut prĂȘter un quelconque crĂ©dit, et comment peut-on expliquer Ă©ventuellement cette diminution ? Dr Alain Froment Oui, ce serait liĂ© Ă  des pollutions. Cela va de pair aussi avec une baisse de la fertilitĂ© masculine, une rarĂ©faction des spermatozoĂŻdes. Et certains pensent que c’est liĂ© Ă  tous les pesticides qui, maintenant, polluent notre alimentation. Est-ce que cela signifie que le sexe masculin va continuer Ă  diminuer ? Dr Alain Froment En matiĂšre d’évolution, on ne peut jamais prolonger les courbes, puisque l’humanitĂ© rĂ©agit. Par exemple, on est plus obĂšse qu’avant, mais on peut se corriger, faire des rĂ©gimes, et lutter contre cette tendance. Au point de vue de la pollution, je pense qu’il y aura aussi des rĂ©actions qui vont se faire, et cette pollution doit diminuer. Donc, cela, ce sont des variations Ă  trĂšs court terme. Un vocabulaire foisonnant Selon le Dictionnaire Ă©rotique » de Pierre Guiraud et Alain Rey, il y aurait 550 appellations pour le sexe masculin et autant pour le sexe fĂ©minin. Le sexe dit fort » et le sexe dit faible » serait donc sur un pied d’égalitĂ©. MĂȘme si le registre n’est pas le mĂȘme entre le chalumeau », le vilebrequin » ou encore le dĂ©monte-pneus » et le berlingot », la praline » ou encore le bouton de rose ». Quant aux expressions imagĂ©es pour dĂ©crire l’acte sexuel, AgnĂšs Pierron en a recensĂ© plus de 5000 dans son Dictionnaire des mots du sexe ». Cette partie de notre anatomie a pris au fil des siĂšcles de plus en plus d’importance. Vous disiez que les reprĂ©sentations de la prĂ©histoire Ă©taient finalement trĂšs symboliques. On y attachait moins d’importance ? Dr Alain Froment C’est difficile Ă  dire. Dans les sociĂ©tĂ©s actuelles, montrer un sexe est toujours un tabou. C’est vraiment quelque chose qu’on ne peut pas montrer. Et mĂȘme dans les sociĂ©tĂ©s qui vivent relativement dĂ©nudĂ©es, par exemple dans les pays chauds, en Papouasie, en Afrique, il y a ce qu’on appelle un Ă©tui pĂ©nien, c’est-Ă -dire que l’homme sera nu, mais son sexe sera cachĂ© dans un tube de bois. Et le sexe fĂ©minin, pareil. MĂȘme si la femme est nue, il y a toujours quelque chose qui va le cacher. Et quand vous regardez les statues antiques, par exemple, les nus fĂ©minins, qui sont quand mĂȘme nombreux, on ne voit jamais de fente vaginale, en fait. Vous avez toujours le triangle, mais il n’y a jamais la fente. Ce n’est pas du tout dĂ©cent de la montrer. Vous indiquez dans votre livre qu’il y a une thĂšse qui dit que la station debout aurait Ă©tĂ© sĂ©lectionnĂ©e », au sens darwinien du terme, justement pour montrer le pĂ©nis
 Dr Alain Froment C’est liĂ© aussi au fait que le pĂ©nis est chez l’homme, dans l’espĂšce humaine, plus long, plus grand, plus volumineux que chez les autres primates. En fait, les gorilles et les chimpanzĂ©s ont un tout petit kiki », et nous, nous sommes mieux dotĂ©s. Cela dit, les thĂ©ories sur la bipĂ©die, elles sont multiples, et celle qui se focaliserait uniquement sur un sexe justifierait son hypothĂšse en disant que c’est trĂšs important pour les femmes de voir le sexe. Mais, rien n’est prouvĂ©, et la plupart des autres espĂšces animales se dĂ©brouillent trĂšs bien en cachant leur sexe. Donc, il ne faut pas voir sur un Ă©lĂ©ment anatomique isolĂ© la preuve d’une thĂ©orie compliquĂ©e. La bipĂ©die, comme on le disait, est un phĂ©nomĂšne complexe, oĂč la libĂ©ration de la main, l’augmentation du cerveau, la thermorĂ©gulation, entrent en jeu. Mais le sexe Ă©videmment est important dans la sociĂ©tĂ©, et il est important dans notre imaginaire. 1 Anatomie impertinente – le corps humain et l’évolution », Ed. Odile Jacob, 281 p. 25,90€ Quand on se balade dans Rome, capitale italienne mondialement connue, impossible de passer Ă  cĂŽtĂ© de ces vestiges de l'AntiquitĂ©. La plupart de ceux-ci sont bien souvent des statues, caractĂ©risĂ©es par la petite taille de leur grecqueCe qu'il faut savoir c'est que cette tradition artistique est fortement liĂ©e Ă  la culture grecque de l'AntiquitĂ©. En effet, un sexe volumineux Ă©tait Ă  l'Ă©poque considĂ©rĂ© comme ridicule, vulgaire. Seule la reprĂ©sentation du visage Ă©tait fidĂšlement respectĂ©e mais pour le reste, aucun lien avec une quelconque forme de rĂ©alisme. Le but Ă©tait avant tout de ne pas choquer mais aussi de montrer qu'un homme avec un sexe plus discret allait moins s'en servir, au profit de l'activitĂ© intellectuelle. Seules les caricatures, d'esclaves par exemple, Ă©taient reprĂ©sentĂ©es avec un pĂ©nis plus volumineux. Les Romains se sont beaucoup inspirĂ©s des statues grecques et donc, de leurs... zizis! Dans la Rome antique, ĂȘtre bien fourni faisait rĂ©guliĂšrement l'objet d'insultes. CĂ©cile Everts, conservatrice des antiquitĂ©s romaines au MusĂ©e du Cinquantenaire, Ă©tait dans le 57 pour nous en parler. PARTAGERSur le mĂȘme sujetArticles recommandĂ©s pour vous

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