Banquede France - Paris : une grève réussie. 27 Février 2003 . A la Banque de France, lorsque le 15 octobre 2002 nous avons reçu un message du gouverneur Trichet nous informant de deux missions confiées au secrétaire général Barroux -l'une chargée d'étudier le réseau de succursales, l'autre l'externalisation des comptes de la clientèle privée (c'est-à-dire Syndicatset fédérations de taxis ont achevé leur mouvement de grève nationale du jeudi 10 janvier satisfaits. Les chauffeurs ont réussi à obtenir le gel du projet de loi sur le transport des malades, qui constituait l'une des principales revendications. Satisfaits de cet aboutissement, ils ne reconduisent pas leur mouvement. TrëmaReims : une grève réussie. 05 Mai 2021 . Les travailleurs de Trëma, entreprise de Reims spécialisée dans le transport de personnes handicapées, se sont mis en grève à partir du mardi 27 avril. Ils dénonçaient la dégradation des conditions de travail et de service aux usagers depuis que le Grand Reims a confié en 2019 cette activité à un nouveau Lessyndicats de la SNCF ont appelé à la grève le mercredi 6 juillet, veille des vacances scolaires, tandis qu'un mouvement social perturbe l'aéroport de Paris-Charles-de Lappel à la grève lancé par des syndicats de la RATP lundi devrait être peu suivi, a annoncé le gouvernement ce dimanche. Cette faible mobilisation confirme un YRXLh4. Les grèves ont paralysé de nombreux secteurs, elles ont évidemment impacté aussi, c’est le principe même d’une grève, les déplacements des personnes, les déplacements professionnels et l’événementiel. Comment se rendre à son travail, comment se déplacer en France ou à l’étranger, comment organiser un événement d’entreprise si les moyens de transports sont ralentis, incertains ou tout simplement inexistants ? Si, d’après le gouverneur de la Banque de France, ces mouvements sociaux ne devraient pas trop peser sur la croissance économique, malgré des effets sectoriels importants, les incidences sur l’hébergement, la restauration et les transports, sont très conséquentes, et soulignées d’ailleurs par notre institution bancaire nationale. Ce n’est pas le premier mouvement de grèves, dont rien n’indique à ce jour qu’il est vraiment terminé, et ce ne sera sûrement pas le dernier. Afin de limiter les effets de tels mouvements il est absolument indispensable pour les acteurs de notre industrie de savoir s’adapter. Les déplacements quotidiens des personnes Les grèves appellent à composer avec les aléas des transports. Il convient à chacun d’anticiper, de s’organiser, de s’adapter, afin de gagner son lieu de travail. Autant de changements dans les habitudes qui génèrent du stress et de la fatigue et qui invitent à se tourner vers des alternatives. Les moyens de transport, tels que le vélo, le scooter, le covoiturage, l’autopartage, la trottinette malgré sa dangerosité lorsqu’elle est mal utilisée- ou tout simplement la marche, en font partie. Ces alternatives permettent de limiter l’empreinte carbone et, me direz-vous, peuvent avoir un effet positif sur la santé. Selon une étude sur l’impact des grèves dans le secteur du numérique et de la prestation intellectuelle, le télétravail sauve de nombreuses entreprises, notamment une très grande quantité de PME/PMI. Pourtant tout ne peut pas se régler avec le télétravail. Les porteurs d’applications de déplacements urbains Google Maps, Citymapper, de covoiturage BlaBlaCar, BlaBlaLines ou de VTC Uber, Kapten ou encore MarcelCab font partie des “gagnants”, car il y en a pendant cette période de mobilisation sociale. Le voyage d’affaires Combien de vols et de trajets ferroviaires annulés, retardés ou supprimés pendant les grèves ? Les répercussions sont incontestables sur le bien-être du voyageur d’affaires, sa santé et sur celle de l’entreprise. Pour le voyageur d’affaires, il s’agit de repenser l’organisation de son agenda. Les réunions manquées ou les déplacements reportés ont des conséquences loin d’être anodines. Résignation et tolérance sont toutefois de mise lorsque l’on est face à une situation conjoncturelle à laquelle il est difficile de faire face. À l’instar de monsieur tout le monde dans ses déplacements quotidiens, le voyageur d’affaires se tourne lui aussi vers des modes de transport alternatifs, tels que le car, le covoiturage et la location de voiture. Le MICE Les grèves ont impacté le MICE à différents niveaux. Si l’annonce des journées de mobilisation a permis à certains clients » de s’organiser, le manque à gagner pour les autres acteurs est néanmoins fort. En effet, quand les entreprises s’adaptent en reprogrammant leurs réunions et séminaires, les professionnels du tourisme et les commerçants sont de grandes victimes du mouvement. Une réduction très significative des événements a été observée jusqu’à moins 50% de chiffre d’affaires sur ce segment en Ile de France, sans obérer les effets négatifs constatés dans les régions. Reprenant les préceptes de Darwin, le secteur du voyage d’affaires sait s’adapter pour survivre. Il est bon de savoir que comme des fleurs qui poussent dans les champs de ruines, de belles solutions et de nouvelles opportunités peuvent naître de situations compliquées. À l’heure où je rédige les dernières lignes de cette chronique, nous ne savons pas encore comment vont aboutir les négociations entre les partenaires sociaux et le gouvernement, mais faisons tout de même confiance aux capacités d’adaptation de notre industrie. Prenons pour exemple la croissance d’Easyjet qui fit suite aux grandes grèves d’Air France, à l’essor du VTC qui est venu secouer le monde des taxis, tout en sublimant le service de ces derniers qui est maintenant en nette amélioration, à l’émergence de nouveaux modes de transport ou de réunions audio et visioconférences. Il n’est pas question dans ce propos de banaliser la vraie facture de ces grèves. Tant sur le plan économique qu’humain, ce mouvement a provoqué son lot d’adaptations intéressantes, dont tireront sans aucun doute des enseignements tangibles les prestataires de notre industrie, mais aussi les travel managers et les acheteurs des entreprises. Michel Dieleman Président de l’AFTM Publié le 01/07/2021 à 1144, Mis à jour le 01/07/2021 à 1410 Pas de perturbation du trafic aérien ce matin à Roissy-Charles de Gaulle. Francois Bouchon / Le Figaro Le mouvement de grève des syndicats qui protestent contre la suppression de certaines primes a retardé les vols de 15 minutes en moyenne, ce jeudi matin. Les vols au départ des aéroports parisiens de Roissy-Charles-de-Gaulle et Orly ont été retardés en moyenne de 15 minutes jeudi matin par des actions de salariés, appelés à la grève par le syndicat Unsa du Groupe ADP, a-t-on appris auprès de la direction de ce lire aussiAutour de l’aéroport de Roissy, l’activité reprend doucement son rythmeSur toute la matinée, dans les deux aéroports, il y a eu une moyenne de 15 minutes de retard sur l'ensemble des vols au départ», a précisé à l'AFP la direction du Groupe ADP, gestionnaire des aéroports de Roissy-Charles-de-Gaulle et Orly. Deux vols à destination de Cayenne et Fort-de-France ont été plus fortement impactés au départ d'Orly, avec un retard de 45 minutes», a-t-on retards ont été provoqués par des opérations de filtrage des voyageurs organisées par des salariés manifestant à l'intérieur d'aérogares. C'est à Orly qu'il y a eu le plus de perturbations», a noté la direction d'ADP. On essaie de résorber les retards. Les cortèges de manifestants sont partis. On va retrouver un cours normal d'enregistrement» des passagers, a-t-on indiqué. Selon une source aéroportuaire, interrogée à la mi-journée par l'AFP, il y a 15 minutes de retard», mais jamais eu de blocage ferme» et le retour au calme est en cours».Pour Laurent Garssine, secrétaire général de l'Unsa chez ADP, ces premières actions sont très bien réussies». Nous ne lâcherons rien», a-t-il prévenu. Trois syndicats d'ADP ont déposé des préavis de grève englobant le premier week-end des grands départs en vacances. Celui de l'Unsa court de jeudi à lundi, tandis que la CGT et la CFE-CGC appellent à faire grève de vendredi à lundi. Ces syndicats réclament le retrait d'un plan d'adaptation des contrats de travail PACT, qui prévoit la suppression de certaines primes. En cas de refus, les salariés seront potentiellement licenciables» via un plan de sauvegarde de l'emploi PSE, a expliqué Laurent Garssine.Trahison» du groupe ADPÀ Roissy jeudi matin, environ 200 manifestants ont perturbé l'accès sur une voie de circulation menant au terminal 2E, selon une source aéroportuaire. Des manifestants ont filtré le passage des voyageurs se dirigeant vers les postes de contrôle du terminal 2B, gênant le fonctionnement de l'aérogare, a précisé cette terminal Orly 3, accrochée sur les parois vitrées de l'aérogare, une banderole de l'Unsa et de la CGT dénonçait la trahison» et la déloyauté» du Groupe ADP, tandis qu'une autre aux couleurs de l'Unsa disait Non à la baisse des salaires» et réclamait le retrait du projet PACT», selon des photos publiées sur Twitter par Laurent Garssine. Selon lui, 350 à 400 salariés d'ADP» étaient mobilisés à Orly» jeudi matin et les actions menées au terminal 3 ont entraîné des retards de 15 minutes à une heure».Des manifestations sont aussi prévues vendredi matin dans les deux aéroports. Les organisations syndicales veulent le retrait du PACT et de vraies négociations» avec la direction, pas de pseudo» discussions, a souligné Laurent Garssine, qui prévoit un impact plus puissant» de la mobilisation samedi et syndicats qui demandent le retrait du PACT, la direction d'ADP répond que ce plan est nécessaire pour réaliser des économies, alors que la pandémie de Covid-19 a considérablement affecté l'activité du groupe, majoritairement détenu par l'État. Le trafic à Roissy et Orly reste très en deçà du niveau d'avant crise, avec passagers par jour contre auparavant, même s'il reprend de la vigueur à la faveur des départs en VOIR AUSSI - Covid-19 Le pass sanitaire sera obligatoire pour voyager dans un autre pays européen» Mardi 18 février, 9h55. Saint-Denis. Les allées de l’université Paris-VIII sont presque désertes. Quelques retardataires pressent le pas vers le grand amphi Y » pour ne rien rater de l’assemblée générale qui débute dans moins de cinq minutes. A l’ordre du jour, deux grands sujets faire le point sur la mobilisation contre la précarité étudiante, contre la réforme des retraites et contre la Loi de programmation pluriannuelle de la recherche LPPR, et voter pour ou contre la reconduction de la grève, lancée le 5 décembre. Depuis la publication de trois rapports présentant ses grandes orientations, la LPPR, portée par la ministre de l’Enseignement supérieur Frédérique Vidal, inquiète la communauté scientifique. On lui reproche de vouloir intensifier la concurrence, de nier l’aspect coopératif de la recherche et de favoriser les appels à projet à court terme, au détriment des emplois stables. Il est presque 10 h. Tous les sièges de l’amphithéâtre sont occupés. La foule s’installe jusque sur les marches. Enseignants, étudiants, personnel administratif et doctorants se serrent les uns contre les autres. Dans la chapelle de Gilles Deleuze et Jacques Rancière, l’égalité des intelligences n’est pas un vain mot, elle a valeur de foi. En philo, on est très mobilisés », assure l’un des premiers intervenants. En cinéma, nous organisons une série de projections et de débats autour de films qui résonnent avec la séquence que nous sommes en train de vivre », lance, enthousiaste un aspirant réalisateur. La parole tourne vite. Les interventions vont à l’essentiel et témoignent du sens politique aiguisé de ces néomilitants la plupart des intervenants n’ont pas encore leur licence. On s’empresse de motiver les troupes et de chasser le doute et la fatigue – deux mois de mobilisation, ça use. Très vite, l’apparent consensus implose. Je suis pour la grève, mais je me pose de plus en plus de questions. Est-ce la bonne méthode de mobilisation ? », s’inquiète Clément, étudiant en arts plastiques. La parole se libère et les premières voix discordantes s’expriment. D’autres se disent, comme Clément, tiraillés entre volonté d’engagement et peur que ces journées de grève ne compromettent leurs études. On conjugue la lutte à la fête Je crois qu’il y a des minorités silencieuses qui ne viennent pas forcément aux AG. En dernier ressort, c’est nous, que pénalisent les grèves », renchérit l’un d’eux. Maintenir la mobilisation sans léser les étudiants, c’est le souci du corps enseignant. »Même si je suis en grève, j’essaye de garder un lien avec mes étudiants, pour ne pas qu’ils décrochent, nous raconte Roxanne, chargée de TD travaux dirigés en sciences politiques à l’université de Lille. J’ai maintenu deux cours depuis le début du mouvement. » Dans de nombreux cas, des séances alternatives, co-organisées avec les étudiants, remplacent les apprentissages classiques. A la faculté des sciences juridiques, politiques et sociales de l’université de Lille, par exemple, les ateliers tournent autour de sujets d’actualité changement climatique, violences policières, démantèlement des services de santé ; à Paris-VIII, on a improvisé un séminaire autour du théoricien de la désobéissance civile, Henry David Thoreau. Le but est d’offrir un espace d’échange critique , souligne Samuel Hayat, docteur en science politique. Pour dépasser les modes de contestation classiques grève, blocage, manifestation, etc. et inscrire la mobilisation sur une longue durée – jusqu’au retrait , jure-t-on partout – on conjugue la lutte à la fête. D’autres formes d’action, symboliques, subversives, joyeuses, fleurissent un peu partout dans l’Hexagone le comité de mobilisation de Sciences-Po Toulouse a organisé un enterrement de la recherche publique » ; à la fac de Lille, les vœux annuels du président de l’université ont laissé place à des vœux populaires » organisés par les militants ; à Paris, une centaine d’étudiants et d’enseignants, fardés comme pour carnaval, ont barbouillé un pantin à l’effigie d’Emmanuel Macron devant la pyramide du Louvre. Et puis il y a la grande mobilisation des chercheuses et chercheurs précaires doctorants, post-doctorants, vacataires, etc., certainement les plus concernés par les éventuelles conséquences de la LPPR, qui devrait atterrir à l’Assemblée nationale dans les prochains mois. Actuellement, j’ai un contrat doctoral de trois ans, mais après, c’est le flou total, se confie Roxanne. J’aime énormément ce que je fais ; j’adorerais devenir enseignante-chercheuse. Mais avec cette loi, je n’ai quasi aucune chance d’être un jour titularisée », regrette-t-elle. Des Roxanne, on en a rencontré beaucoup. Certains sont dans une précarité extrême, d’autres ont un poste, tous partagent la même myopie quant à leur avenir proche, la même angoisse et un idéal qui les transcende Une certaine idée du service public et de la méritocratie, qu’ils s’acharnent à préserver pour que la recherche demeure publique et l’enseignement gratuit. Et surtout, que l’université conserve son pouvoir émancipateur. ——————— À lire aussi Les précaires de la fac se rebellent La lutte des classes » on a mis le petit dans le privé ou pas La Cour de justice de l’Union européenne CJUE a de nouveau pris la défense des passagers une grève organisée par un syndicat de compagnie aérienne, notamment pour obtenir une augmentation, n’est pas une circonstance extraordinaire. Ceci signifie que les passagers dont le vol a été annulé ou retardé par cette grève doivent être indemnisés, conformément au règlement européen n°261/2004. Une grève provoquée par la politique interne de la compagnie La CJUE a eu l’occasion de traiter d’une grève qui a touché la compagnie SAS, ou Scandinavian Airlines System, au printemps 2019. Cette grève, qui a provoqué l’annulation et le retard de nombreux vols, a été provoquée par un syndicat de la compagnie à la suite de l’échec de négociations concernant une nouvelle convention collective. La compagnie SAS refusait jusqu’alors systématiquement toute indemnisation, estimant qu’il s’agissait d’une circonstance extraordinaire, un évènement défini comme n’étant pas inhérent au transport aérien et provoqué par des faits extérieurs à la compagnie. La CJUE n’est pas de cet avis la grève a clairement été provoquée par des circonstances purement internes à la compagnie. De plus, la grève a fait l’objet d’un préavis, excluant donc d’affirmer que celle-ci était soudaine et imprévisible. La compagnie pouvait prévoir et gérer une telle grève, qui fait somme toute partie de la vie de beaucoup d’entreprises, en particulier d’une compagnie aérienne. Une nouvelle opportunité pour les passagers victimes de perturbation de leur vol d’être indemnisés Tous les passagers concernés par ces faits sont donc en droit d’être indemnisés, conformément au règlement européen n°261/2004. Cet arrêt intéressera fortement les passagers concernés par des grèves purement internes aux compagnies ces dernières années. Notamment, les grèves des salariés de Ryanair de l’été 2018 ou encore de Lufthansa en novembre 2019. Attention, il faut également conclure de cet arrêt que toutes les grèves de salariés de compagnies aériennes ne justifient pas l’indemnisation des passagers. Sont donc exclues les grèves des salariés d’Air France et Hop! en décembre 2019 les mouvements avaient été provoqués par la réforme des retraites débattue en France à ce moment-là. Les revendications des employés n’étaient pas liées à la gestion des compagnies qui ne pouvaient donc pas agir pour les stopper. Votre vol a été annulé ou retardé à la suite d’une grève des salariés de la compagnie ? Cliquez ici pour être accompagné dans votre réclamation et obtenir votre indemnisation ! Les grèves des transports provoquées par les salariés de la RATP ou du STIF en région parisienne ou les salariés de la SNCF semblent devenues courantes. Après 36 jours de grève SNCF prévus en 2018 et un droit de retrait en septembre 2019, les salariés de la RATP pourraient entrer dans une grève illimitée à partir du 5 décembre objectif est de protester contre la réforme des retraites et ils pourraient bien ne pas être les seuls, les gilets jaunes ayant appelés à rejoindre la manifestation. Une manifestation des professions libérales est aussi prévue le 3 février ces perturbations dans les transports en commun tout comme les mouvements sociaux occasionnent des retards répétés pour les salariés concernés, allant parfois jusqu'à désorganiser l'entreprise. Dans les cas les plus graves, le licenciement peut être règle est la même en cas de retards dus aux intempéries. Tant qu'ils restent exceptionnels et liés à des contraintes externes, le salarié peut invoquer la force majeure. Dans le cas contraire, la sanction devient possible mais pas pour un retard unique et obligations du salarié en cas de grèves des transportsLes grèves sont généralement prévues avec plusieurs jours, voire plusieurs mois d'avance même s'il y a des exceptions. C'est le cas de la prochaine grève illimitée du 5 décembre 2019, annoncée dès le mois de donc au salarié d'arriver à l'heure ou de tout mettre en ½uvre pour y parvenir. Différentes alternatives peuvent être envisagées, du covoiturage avec ses collègues à la location d'une voiture pour celui qui a le permis en passant par les sociétés de transports de personnes taxis, UBER pour n'en citer que deux. Il faudra alors s'organiser pour partir très en avance et éviter les n'y parvient pas, le salarié doit prévenir son employeur dès que possible et présenter un justificatif pour son retard ou son justificatif peut par exemple provenir de la société de possibilités d'accord entre le salarié et l'employeurOutre les accords sur les horaires, employeurs et salariés peuvent s'accorder sur le recours au télétravail. L'une des parties ne peut toutefois pas l'imposer à l'autre, surtout si le télétravail n'est pas prévu au contrat ou par accord mise en place du télétravail en entreprise doit respecter des conditions n'est que dans des circonstances exceptionnelles comme les cas de force majeure, que le télétravail peut être mis en place en vertu de l'article L1222-11 du code du travail. Il peut alors être considéré comme un simple aménagement du poste de travail rendu nécessaire pour permettre la continuité de l'activité de l'entreprise et garantir la protection des question de la force majeure peut toutefois se poser en cas de grève prévue avec suffisamment d'avance, laissant aux salariés, le temps de s' cas de grève des transports prévue et de difficultés du salarié, celui-ci peut s'accorder avec son employeur pour poser un jour de congés payés ;poser un jour de RTT ;rattraper les heures perdues à un autre moment ;partir plus tôt pour récupérer ses tous les cas, l'accord de l'employeur est cas de récupération des heures perdues, salariés et employeurs ne sont pas dispensés de respecter l'amplitude autorisée d'une journée de travail, le nombre d'heures hebdomadaires maximum ou encore les temps de pause et repos quotidiens prévus par les possibilités de sanctions par l'employeur en cas de retards répétésSanctionner les retards répétés d'un salarié est possible lorsque l'employeur a défini des horaires précis de travail soit dans le contrat de travail du salarié, soit par affichage dans les locaux de l'entreprise, sur le lieu de le cas contraire, même si le salarié ne peut invoquer la force majeure, ses retards répétés ne pourront pas être sanctionnés. Par définition, le non respect d'un horaire qui n'est pas imposé par contrat ou affichage ne peut lui être sanction peut prendre différentes formes, du recadrage à la sanction disciplinaire, de l'avertissement au licenciement. Le licenciement peut être justifié en cas de retards fréquents qui désorganisent l'entreprise et causent des perturbations dans le travail. C'est alors un licenciement pour faute sérieuse cause réelle et sérieuse mais pas un licenciement pour faute faute grave ne pourra généralement être invoquée que dans les cas les plus extrêmes, de nombreux retards importants et répétés et après une première sanction disciplinaire pour les mêmes retards peu fréquents et de faible importance ne peuvent jamais justifier un licenciement qui sera forcément sans cause réelle et par les tribunaux se fait ici au cas par cas. La sanction doit toujours être proportionnée à la n'est pas tenu de rémunérer le salarié absent, même en cas de force majeureUn employeur n'est jamais obligé de rémunérer un salarié absent ou qui arrive en retard. Il peut donc pratiquer une retenue sur salaire congé sans solde qui doit être strictement proportionnelle à l'absence du il s'agit d'une sanction pécuniaire illicite.

a organisé une grève des transports réussie